Le self

Willis calma instantanément ses rougeurs et détourna les yeux à la dernière phrase. Cela lui faisait penser à ce que Freyr lui avait dit sur Dieu, et ce qu'Il laissait faire aux enfants.
Mais il ne dit rien. Il reprit son bol et but pour cacher son visage au Danois, puis quand il reposa son bol, il souriait gentillement. "Peut-être," répondit-il finalement sur les deux affirmation de Freyr avant de prendre un croissant à Freyr.

Retour à son bol : TdW "ho, y'en a plus !"

Et il se leva pour aller rechercher du café au lait, plein de sucre !
Le pendentif en forme de croissant de lune était visible sur sa chemise, alors que d'ordinaire Willis ne montrait le bijou à personne. Il le tripotait de sa main libre en sifflotant.

[Chambre 21: K.Oni]

Les mains derrière la tête,le pas lent et désinvolte,et tout en sifflotant,K. pénètre dans le réfectoire en companie de Makkie.Il posa alors un regard sombre sur le lieux,les gens,mais aussi les objets qui s'y trouvaient.Il mit ses mains dans ses poches et il prit une démarche "normal".Aucune vantardise,aucun mépris,juste une méfiance naturelle...Juste une nature qui reprenait le dessus...Celle de l'assassin...
Il s'avança devant le buffet et hésita un instant.Il devait sembler parano mais on ne se défait pas d'habitude qu'on a depuis quasiment la naissance.Il fixa une assiette de carotte rapée,puis finalement il la prit,mais vraiment à contre coeur.Il prit tout ce qui lui faisait envie,ensuite il alla s'assoir à une table attendant Makkie.Lorsque son regard se posa sur elle,ses traits se relachèrent pour reprendre cet aspect d'adolescent juvénil,avec un sourire bète...Il avait déja oublié les autres personnes présentes en ce lieux en plus qu'eux mais bon.

[Chambre de K.]

Makkie marchait toujours fièrement et souriait toujours, observant la manière dont K. se déplacait et parlait. Sa la faisait sourir, betement peut étre mais elle s'en fichait. Elle le suivis à travers les couloirs en riant parfois, l'air totalement détendut et en imposant son style et son sourir à l'endroit ou ils se trouvaient à chaques pas.

Lorsquils entrèrent dans le refectoir , elle perdit pendant un instant son sourir.Elle balaya la salle du regard puis repris sa démarche élégante jusqu'au buffet, laissant bien paraitre sa totale indiférence de ce que les autres panssait d'elle.
La jeune fille regarda K. choisir puis aller s'installer à une table. Elle regarda ensuite les plats disposé sur la table, petit déjeuner ? Oui sa devrais lui suufir, et puis rien ne l'empéchait de prendre un steack après son croissant et son chocolat chaud ? Elle pris donc un pain au céréal, un croissant, du jus d'orange et de la salade ! Ben oui elle ne fait pas souvent comme les autres, surtout en matière de nourriture.

Satisfaite, la jeune fille alla rejoindre K., son sourir au lèvre comme si il n'y avait que lui qui pouvait voir se sourir.

"J'ai eut un mal fou à choisir ! Enfin, bon apétit !"

Elle fit un clin d'oeil malicieux et commença par sa salade.

K. fit surpris de voir Makkie manger sans se poser la moindre question.Il l'observa un instant,reporta son regard sur les autres personnes présentes puis il le reposa sur son assiette.

"T'as pas peur que dedans il y ait un poison pour nous tuer,ou un truc pour nous rendre docile?"

Il prit une tranche de carotte et renifla avant de rester un instant dubitatif.Il fixa ce tout petit bout de carotte sans défense avec méfiance,puis il finit par le relacher dans son assiette.Il observa attentivement Makkie.

"ça va?Tu te sens pas mal,ou un truc du genre?"

Makkie redressa la tête et fixa le jeune homme. Du poison ? Ah mais c'est vrai il était tueur, normal qu'on devienne parano avec se genre de boulot. Une fille comme les peste du lycé de Mak' aurait rit et serré partie en pretextant un rendez -vous important pour ne pas étre vus avec un type étrange mais Makkie sourit et le regarda observait le pauvre petit bout de carotte.

Elle le regarda le reposé et à sa question elle regarda son assiète. Elle aurait penssé lui faire une blague, du style "Maintenent que ut le dit je me sens mal..." mais il avait l'air tellement sérieux.

"Moi ? sa va."

"Tu veut que je goute en premier ?comme sa , si on t'a empoisonné en y t'arrivera rien ."

Elle paraissait très sérieuse.

"y a rien ! Tranquil et mange !"

Elle continua à mangé en regardant K.

Willis partit donc remplir sa tasse de café.

Rien à faire, rien à faire, Freyr le troublait trop ! Il ne comprenait rien à ce qu'il lui arrivait, le pire, le pire c'était le croquis de l'Enfer, Willis commençait à paniquer à savoir bordeldemerdeoùest-cequ'ilamiscecalepinàlacon?!
Inquiet jusqu'à la mort, le professeur d'histoire des religions et de l'art de la renaissance (toujours utile de relire sa fiche), ne fit pas vraiment attention au reste of the world. La tasse de café remplie d'un liquide noir brûlant au 9ème degré de l'Enfer (en fait, comme le croquis), et après un sourire rêveur qui fit rougir jusqu'aux racines la préposée au café, il s'en revint avec sa tasse dans une main et l'ongle dans la bouche.

Il arriva... Qu'il dérapa...

Son pied, à la hauteur de la table de K et Makkie qu'il ne connaissait pas (aussi bien le pied que son proprio), son pied donc, se tordit à cette hauteur, Willis bascula vers l'avant, tasse fumante et brûlante au 9ème degré la première.
Et le liquide brûlant se déversa sans pitié aucune sur le haut du crâne de K.Oni, pour ensuite ruisseler sans vergogne et avec chaleur sur son visage et sa nuque.
La tasse se brisa par terre.
Willis s'était cassé la gueule et son front frappa le bord de la table.

Hein ! A parler de malheur !

Freyr avait suivi du regard Willis, songeant à quel point il pouvait être séduisant. Il remarqua aussi le pendentif alors qu'il portait la tasse de chocolat chaud à ses lèvres. Il n'avait jamais vu celui-ci auparavant... Peut-être devrait-il interroger Willis, à un autre moment de la journée.

Freyr manqua de s'étrangler dans son chocolat, lorsque Willis glissa soudainement et heurta sa tête sur le bord d'une des tables. Sans se soucier un seul instant des deux élèves présents et de celui qui avait reçu le café brûlant, il se précipita auprès du professeur pour s'agenouiller à côté de lui et le prendre dans ses bras. Tater prudemment son front là où la bosse commençait à enfler. Willis était vraiment maladroit quand il s'y mettait.

"Willis, tu veux aller à l'infirmerie ?" questionna-t-il en essayant d'aider le jeune homme à se redresser.

Il aurait pu soigner Willis lui-même, du moins pour la bosse. Il craignait qu'il ne se soit fait une légère commotion sur le choc.

Lorsque Makkie lui proposa de gouter,il eut un léger sourire,étant flatté qu'elle est eut cette intention mais à l'instant où il allait réagir et donner une réponse négative,il s'appréta à se lever subitement,guidé par son instinct mais une tasse de chocolat supra hypra chaud lui tomba sur la tête.Il resta un instant immobile,la main tendue vers le haut comme si il s'apprétait à attraper quelquechose,mais son visage était figé dans une expression bizarre et pas vraiment agréable à voir.

Il sentait sa peau le brûler énormément,et une douleur engourdir tout son visage,mais pourtant il ne poussa aucun cri,aucun gémissement.
Finalement il posa un regard sombre sur les deux hommes,comme si on venait d'attenter à sa vie et qu'il se préparait à le leur faire payer et ressentir le triple de la douleur qu'il ressentait à l'heure actuelle,même s'il ne laissait rien paraître grâce aux entrainements qu'il reçut lors de sa vie précédente.

D'un geste léger et sans brutalité il vint aidé l'autre homme à redresser le malheureux malchanceux-quoique lui aussi avait joué de malchance sur ce coup-puis il regarda son front avant de fixer l'autre homme et de lui adresser un léger sourire.Pourtant lorsqu'il se mit à parler sa voix était froide,distante,seche et caverneuse.

"Je vais m'en occuper!"

Il se tourna vers Makkie et lui fit un sourire désolé même si ça peau,surtout au niveau des paumettes,le tirait.

Makkie regarda le chocolat tomber presque comme si elle le voyait au ralentit. Elle regarda l'homme étalé par terre puis un autre qui se préscipitait vers le maladroit. Cet homme qui ne s'occupait même pas de celui qui devait agvoir le plus mal. La jeune fille se contenta de lancer un regard noir et glacial à Freyr en se retenant par l'opération du saint esprit, de ne pas donner de violent coup dans les deux hommes même si elle savait pertinament que ce n'était pas la faute de celui qui était par terre. Elle pris une serviette et s'approch de K.

"T'occuper de quoi ? Laisse moi faire."

Elle tendit la main et essuya le visage de K. en fulminant contre les deux hommes. Willis n'y était pour rien mais l'autre ! Ah l'autre qu'est ce qu'il pouvait l'énervé ! Willis, tu veut aller à l'infirmerie ? Quel crétin ! Elle lui en aurait donné des coups de katanas, si seulement elle les avaient eut sur elle. Remarque elle pouvait toujours opter sur les pieds qui étaient plus facile à transporter.
Sa main était crispé sur la pauvre petite serviette qui n'y était pour rien dans cette histoire, oui en réalité c'était la faute du chocolas.

Willis héritait d'une gueule de bois qui n'incriminait miraculeusement aucun alcool. Il s'était frappé le front contre le bord de la table, sa tête l'élançait comme si on lui jouait Beethoven entre les deux oreilles. Il s'était ensuite étalé de tout son long en entendant vaguement son chocolat faire la plus théâtrale des chute sur innocent brûlé au choisissezquel degré. Le blondinet se redressa, enfin plutôt tenta de se redresser puis se redressa quand sa ligne d'horizon se stabilisa et lui avec. "Heu... N-non ça va..." Bafouilla t-il, la seconde suivante il se retenait de rendre en portant une main à sa bouche.

Puis quelques paroles proférées par ces bonnes gens parvinrent à sa base de traitement de données nommée communément cerveau, il releva du mieux qu'il put (sans vomir du tango de sa ligne d'horizon) ses immenses yeux sur K trempé et Makkie furieuse. La fureur de Makkie d'ailleurs était tellement palpable dans ses gestes et ses doigts crispés que Willis nous fit cet air là "oh, je suis désolé, vraiment !" S'exclama t-il avant de se relever courageusement pour ignorer royalement son envie de vomir et son équilibre plus qu'approximatif (il se retint d'une main au bras de Freyr) pour tenter de réparer ses conneries.

C'est ainsi qu'il put se rendre compte de l'état de K, qu'il nous sortit son air de chibi "je suis vraiment désolé de vous avoir renversé le chocolat dessus !" Et sortant un mouchoir d'une manche comme par magie, et un petit flacon d'onguent pour les grands brûlés de l'autre, il entreprit dérechef d'essuyer le visage de K avec son mouchoir blanc puis de lui badigonner la peau de ce même visage de son onguent à base d'herbes efficaces pour les irritations dues aux brûlures. Tout ceci en se confondant de milles excuses devant K et son amie. Une vraie tornade soignante, en quelques secondes, le K sentait déjà plus positivement son visage. "Ca va piquer encore quelques heures mais vous n'aurez plus rien après, si vous avez encore mal allez à l'infirmerie -- SZZZ Willis Ange : quoique ? SZZZ -- ou plutôt venez me voir, je suis professeur !"

Allez maintenant vous me lisez cette phrase le plus vite possible sans respirer !

Ce qu'il y a de bien avec Freyr, c'est qu'il est capable d'oublier le reste du monde lorsque Willis est directement concerné. Aussi ne prêta-t-il aucunement attention à K, lorsque celui-ci proposa de s'occuper de Willis. Et il valait mieux pour toutes les personnes présentes que Freyr n'y prête attention. On ne sait jamais ce qu'une personne atteinte de psychopathie est capable de faire si on propose de prendre soin à sa place de la personne qu'il aime. Freyr n'était pas du genre jaloux mais il n'appréciait pas d'être relégué au second plan, en bon narcissique. C'était lui le héros - ou le dieu, dans un excés d'orgueil - de Willis, et personne d'autre.

Il haussa un léger sourcil face à la colère de Makkie et feignit une légère crainte. La crainte d'une personne qui ne tient vraiment pas à avoir des ennuis, car elle est incapable de faire du mal à une mouche. "Ocekourgpeur".

Alors que Willis se soutenait à lui et qu'il le tenait lui-même de son côté, il regarda le jeune homme soigner K. Gardant un air qui se voulait presque concerné alors que ses pensées intérieures se fichaient éperdument de savoir si les brûlures étaient graves.

Willis se confondit ensuite en excuse. Excuses des plus sincères, bien entendu. Et le professeur mettait tellement de soin à soulager les souffrances de K. Freyr commença à se sentir quelque peu agacé de ce dévouement mais n'en laissa absolument rien paraître. Il afficha au contraire un air désolé et gêné.

"Willis, tu devrais laisser cette jeune fille s'occuper de..." Il préféra éviter le mot "victime", qui allait certainement amener Willis à s'en vouloir un peu plus. "Ce jeune homme. Je t'avais dit que c'était une mauvaise idée de sortir avec ta fatigue due à la fièvre. Nous devrions rentrer chez nous. Ils sont assez grands pour aller à l'infirmerie, par contre il va falloir que je m'occupe de cette vilaine bosse au plus vite, si tu ne veux pas ressembler à un oeuf de paque boursouflé. Nous sommes désolés pour cet incident."

Tout en continuant de paraître attristé de l'événement, il se mit à songer qu'il clouerait à la table la première personne qui insisterait trop sur le sujet. Il y avait plein de couteaux dans ce réfectoir. Et même les gentils professeurs pouvaient avoir des crises d'hystérie aigue, non ? Bon, c'était vrai que les personnes hystériques avaient plutôt tendance à hurler plutôt qu'à donner des cours à la Jack the Ripper. Bah... Sérieusement, il n'aurait qu'à payer le psychologue du coin (ou coucher avec le directeur ?) pour que celui-ci assure que fouiller dans le ventre ouvert et encore chaud de son voisin était simplement un signe de stress et non pas de dérangement profond.

Allez hop!Tout le monde agit et commence à soigner K....qui ne semblait pas le remarquer.Pourtant il avait bien vu les choses se passer.Le regard de Makkie et son geste,l'homme qui ne se préoccupait pas de lui,et le pauvre malchanceux qui lui essuyait le visage et lui passait du baume.Tant d'attention(2/3 ^^ )lui faisait se sentir très mal,car c'était la première fois qu'on prenait soin de...Subitement il tourna son visage,de façon mécanique vers le malchanceux et le fixa d'un regard noir.

"...Vous avez finit de me tripoter le visage?"

Hoooo comme c'est mignon!Une si froide et douce attention à l'encontre d'une personne qui pensait bien faire.Comme par hasard il ne fit aucune remarque à Makkie,mais à l'homme qui s'occupait de lui,ça n'y a aucunement manqué!Il se leva et s'étira alors,faisant ainsi craquer tout les os de son corps puis il poussa un long soupire.Il reposa son regard sur l'homme puis sur Makkie cette fois.

"Prof ou pas...évité de me toucher...Se sera mieux pour tout le monde..."

SAns s'attarder plus,il prit la direction...La direction de quel endroit d'ailleurs?Il jetta un coup d'oeil à ses vètements puis il soupira de nouveau.Direction la chambre...si il la retrouvait...Mais à vrai dire,c'était le cadet de ses soucis.Des gens avaient put poser leurs mains sur lui sans qu'ils ne disent quoique se soit!Enfin des gens...Une personne...En temps normal,sont réflexe premier aurait été de casser le bras de la première personne qui tenterait de le toucher,mais là...ça pouvait paraître ridicule mais il en était assez content.Le fait que Makkie sache pour son passé,qu'elle reste pret de lui et qu'elle n'hésite pas à le toucher signifiait qu'elle n'avait pas peur de lui.

Tant de joie et si peu d'attention font que K. n'avait pas remarqué qu'il marchait et faisait du surplace.Il était face contre la porte et glissait sur place.La douleur et le baume avaient anesthésié son sens du toucher,mais dans ce cas...Pourquoi n'a-til rien vu?Bonne question!Il n'était pas sur que lui même avait une réponse à cette question.Au bout d'un certains temps finit enfin par remarquer sa situation et s'arréta alors.Il se tourna vers les autres personnes et sourit bètement revenant s'assoir face à Makkie,les joues roses et le regard fuyant.

"je...hum...Merci pour tout à l'heure.C'est gentil de ta part..."

*MAIS TU NOUS FAIS QUOI K.?T'ES CENSE ETRE UN TUEUR SANGUINAIRE ET SANS PITIE ET VOILA QUE TU REMERCIS UNE FILLE DE T'AVOIR CHOUCHOUTER??!!!*

Lui qui n'avait jamais été quelqu'un de vraiment chaleuheureux,de part son éducation et son travail,ne comprenait vraiment plus rien.Il découvrait beaucoup de choses troublantes et tout cela en très peu de temps.Il n'allait pas s'en plaindre mais pourtant...Cela devenait trop pour lui?Non mais c'était brusque et très étrange..trop étrange.

Makkie fut prise d'une réelle pitié en vers se pauvre homme qui aidé K. tend bien que mal. Elle decsida donc de basé sa fureur sur l'autre homme à coté. Bah K. n'avait pas l'air de vouloir lui arracher un gras à elle, ni même au pauvre Willis. Correction faites, le fait que K. est envoyé tout donnement le professeur sur les roses fit s'éclairé une jolie pitite ampoule au dessus de la tête de la jeune fille. Se serrait elle fait des idées en remarquant que K. ne lui avait rien dit à ELLE alors que sa ne devait pas étre dans ses habitudes de se faire chouchouter par une fille ! Eho ! Makkie n'était pas une de ses pimbèches de son lycée ! Oui bon passons, c'était quand même une fille et si elle ne c'était pas retenus sa tête aurait ressemblé à sa => tellement qu'elle trouvait la réaction de K. mignonne.

Elle s'arréta donc de passer sa serviette sur le visage de K. qui s'en prenait, elle le comprenait, sur le pauvre malchanceux qui , en y penssant, avait une tête d'enterrement.

"Oui.....je crois que sa va aller Messieurs.....on va se déboruiller."

Ton froid mais sourire d'escuse en vers Willis. A lala, elle n'aurait jamaios penssé avoir pitié d'un homme......et encore moins d'un adulte.
Elle regarda ensuite avec surprise l'hatitude de K. qui commençait.......je dit bien commencait.....à partir. makkie allait le rattraper quand elle vie qu'il s'était arrété, l'air un peut ébété et était revenus s'assoir.
La jeune fille ergarda les deux hommes en lanssant un peut moins séchement à l'adresse de Willis.

"Merci de votre aide.......vous devriez faire quelque chose pour votre.......front."

Elle se tourna vers K., entendant sa voix, Makkie s'appuya sur le dossier de sa chaise en réfléchissant. Elle s'étonnait de plus en plus elle aussi.

"Hein ? Oh c'est rien....."

Willis, à se faire rembarrer comme un malpropre fit au final une tronche de Willis un peu comme ça : (parfait).
Mais commençons dans l'ordre.

D'abord, à la phrase : "...Vous avez fini de me tripoter le visage ?" Willis s'arrêta net justement et fit cette tête d'ahuri : avant de faire celle du 'oups pardon' . Il darda sur K ses grands yeux, ses immenses yeux bleus d'oiseau de proie, aussi humides qu'un labrador qui voit venir le coup de pied au cul. Reculant d'un pas de sécurité, Willis notre charmant et innocent petit blond capable de culpabiliser plus vite que Zorro à tracer un Z, tourna la tête légèrement vers Freyr. Sentant que Makkie avait plutôt décidé de lui en vouloir à lui.

Ensuite la phrase : "Prof ou pas... Evitez de me toucher... Ce sera mieux pour tout le monde..." Willis rentra les épaules avec l'air du berger qui s'est pris le coup de pied en question. TdW : "D-désolé," baffouilla t-il, tout penaud en baissant la tête et rangeant son équipement du parfait petit urgentiste. Un regard désolé à Makkie, un autre explosant la barre du 'désolé vraiment' à K, un regard tout honteux à Freyr, et le petit Willis, tout déprimé, plongea ses mains dans ses poches pour aller bouder. Dans un lieu naturel où il ne risquait pas de créer des catastrophes.

[Je sais pas mais y'a des arbres]

(désolée pour le petit retard ^^)

Lorsque Willis se fit rembarrer par K, Freyr fut partagée entre une joie insolente et un sentiment de colère. Il appréciait de voir le gentil Willis être ainsi éconduit - peut-être comprendrait-il ainsi qu'il ne fallait pas distribuer sa gentillesse aux gens comme s'il était un self service - mais il n'appréciait pas de voir Willis attristé, blessé par une personne dépourvue de toute délicatesse envers ce qui est fragile. Aussi, la colère l'emporta sur la joie. Mais allait-il faire pour autant un esclandre ? Sûrement pas. Il était du genre à attendre le moment opportun et de plus il était censé être pour tous "Freyr le professeur totalement à côté de la plaque et trop gentil"... Que c'était dur pour lui. Il observa K et Makkie assis face à face, puis se détourna. Non sans leur souhaiter une "bonne journée", sur un ton chaleureux et un sourire radieux. Genre : "non, non, je ne rêve pas du tout de planter vos yeux sur des fourchettes à escargot pour les faire ensuite revenir avec du beurre". Il était gentil lui, encore plus gentil que Willis, il n'avait jamais de pareilles idées dans la tête.

Il regagna la table où il déjeunait plus tôt avec Willis et rangea ce qu'il y avait dessus avant de rapporter les plateaux aux personnes de service. Revenant à nouveau près de la table, il passa la main dans ses cheveux. Ceux-ci avaient commencé à sécher mais ne s'étaient toujours par remis de l'attaque de Willis dans la chambre.

Il se dirigea ensuite vers la sortie du réfectoire, songeant que chercher Willis partout serait une perte de temps et que celui-ci finirait pas réapparaître avec son visage de chien battu. Quel dommage, il craignait fort que recevoir la tête de l'insolent dans un papier cadeau entouré de rubans ne lui plaise guère. Non, il devait trouver une façon de le venger bien plus subtile. Il devait en apprendre plus mais il ignorait par où commencer. On ne lui donnerait certainement pas ce dont il avait besoin avec un simple sourire et un "s'il vous plait". Aussi serait-il sans doute obligé de torturer celui ou celle qui conservait les archives sur chaque pensionnaire de cet endroit. L'idée même qu'il n'y avait aucun dossier sur les élèves et les professeurs eux-même lui paraissait ridicule. Sauf si le directeur gardait tout dans sa tête. Dans ce cas, il serait obligé de trouver un moyen pour l'amener à lui dire ce qu'il savait. Lui ouvrir le crâne avec une scie n'était malheureusement pas une solution. En fait, c'était peut-être même plus rapide de passer par le directeur que par un quelconque archiviste.

Willis allait le tuer.

Tant mieux.

[là où s'est planqué le directeur, pour le réveiller à coup de pied dans le cul et l'obliger à cracher le morceau]

Pendant un long moment il resta face à Makkie à la regarder sans dire un mot,jusqu'a ce que l'homme qui les ignorait au départ,les salut.Il se lève à son tour alors et se gratte la tête.il ne savait pas trop quoi faire,il devait aller se changer,mais ne voulait pas trop laissé Makkie.Il soupira et souria finalement.

"Je vais me changer...Pas que j'aime pas le chocolat ni ta présence,mais il faut quand même que je me change...Donc euh...on fait comment?...Tu...on se rejoind en quelques part,ou on se voit plus tard ou euh...tu viens avec moi?"

Il est presque certains qu'elle le verra rarement devenir aussi rouge.Il ne savait vraiment pas où se mettre lorsqu'il posa cette question.ça faisait peu de temps qu'il connaissait Makkie,mais quelquechose l'attirait irrémédiablement chez elle.C'était très étrange pour lui,qui avait toujours dût refouler ses sentiments,pour une fois il se laissait aller et se sentait très bien.Bon c'est vrai que ce n'était pas encore la meilleure façon et que ce n'était pas très explicite,mais c'était déja beaucoup pour lui.
Il hésita un instant puis...Il lui tendit la main...

Makkie ignora royalement Freyr et mangea en silence, les yeux baissés et en soufflant l'entement pour évacuer la dose de colère qu'elle avait enmagasiné d'un seul coup mais elle continuait à pester intérieurement contre cet homme si égoïste. Quelques minutes s'éoculèrent lentement en silence. La voix de K. reveilla Makkie de ses sombres penssées.

"Hein ?"

Elle l'écouta en souriant. C'est qu'il était trop mignon comme sa ! Ah et voila elle allait se mettre à parler comme ses espèces de petites pestes de sont lycée. Enfin maintenent il va falloir qu'elle s'habitue à dire "mon encien lycée.".....

"Je........"

Sourit, un jolis sourire et prend la main de K. en se levant.

"Je vient avec toi ! sa va de sois !"

Tout souriant,K. ressera sa main sur celle de Makkie.La chaleur de la sienne,contre sa peau,lui provoqua un frisson lorsqu'elle l'y posa,et avait arraché au jeune garçon un sourire radieux.Limite,il ne voyait plus qu'elle,dans son champs de vision,mais vu ce qu'il venait de se passer précédemment,tout ses sens étaient encore en éveil,pour éviter une nouvelle catastrophe.En tout cas,une chose est sure,si il n'avait pas un peu de retenu il sauterait partout dans le réfectoire,tellement,il était content.Et c'est dans cette bonne humeur,qu'il partit vers sa chambre,tenant toujours Makkie par la main.

==>[Chambre 21]

[très cours message de transition ! Désolé !!!!!!!!! ]]

Elle frissonna en sentant le contact de la peaunde K. sur sa main rougit légèrement. Elle avait l'impression de sentir la bonne humeur de K. la traverser comme une decharge électrique. Elle le suivis en souriant, sa main dans celle du jeune homme.

[Chambre 21]

Vincent penetra tranquillement dansl e refectoire en compagnie de Kô depuisl e Hall. Le refectoire etaita peine rempli vue l'heure encore un peu matinale pour aller manger , mais les eleves n'allaient pas tarder a affluer pour remplir litterallement les lieux , alors autant commencer a manger un peu plus tô. Il s'avanca vers le self et prit un simple pomme , un morceau de pain et une bouteille d'eau gazuse puis se retourna vers Kô.

"-Prend ce que ut veux , et prend ton temps , tu as un peu moins de deuxh eures pour tout finir , ensuite on verra. Tu pourras peut être aller dans ton dortoir si tu n'y es pas encore allé pour t'occuper de tes affaires. Tout dependra."

Il prit immediatement une gorgée d'eau pour ensuite se diriger vers une table quelconque , de toute facon comme il n'y avait personne a part quelques eleves , c'etait du pareil au même. Il n'avait pas veritablement faim et se contenterait de ce maigre repas , pour ensuite en manger plus pendant un autre repas , pour lui , ca ne changeait rien. Il entreprit d'attendre que l'akuma ait choisi , pour qu'il choisisse lui même la table qu'il souhaitait , car pour lui , ca lui etait egal alors autant que Lô soit content de manger ou il le souhaite.

"-De toute fcon c'est un self , alors tu peux manger tout ce que tu souhaites , reprend tes forces tu en auras besoin , pour continuer tes oeuvres , et pour le bal..."

Le bal , quel invention inutile tout de même. Vincent observait toujours son interlocuteur en attendant patiement que ce goinfre (bha ouaisj 'aai deviné :p) iat terlminé de remplir ses assiettes. Pendant cetemps , il croquait tranquillement sa pomme sans le quitter des yeux

[=>Le Hall]

Le réfectoire, lieu saint dans un monde de superficialité où le physique importait plus que tout et où, si on avait le malheur de ne pas être dans les normes de la beauté et du « normal », l’on se faisait rejeter. Après tout, en dehors de l’acquisition d’ailes et de la guerre bien distincte entre les Tenshi et les Akuma, certains critères persistaient encore et toujours… Enfin bref...

Ce fut donc un Kô émerveillé et bras ballants qui pénétra dans le « sanctuaire », ravi d’enfin pouvoir récupérer de ces heures passées à dessiner sur les murs du Hall sous l’œil attentif du surveillant. Il n’y avait pas encore grand monde, et c’était tant mieux pour notre ventre sur pattes qui ainsi avait moins de chance de sa faire piquer son repas par quelques élèves mal intentionnés, bien qu’il en serait lui-même capable.

N’écoutant qu’à moitié les conseils de Vincent, il se jeta littéralement sur les mets présentés, garnissant son plateau à une vitesse hallucinante, idem pour son sac qui, après tout, n’était jamais assez rempli à son goût. Cela fait, il transporta tant bien que mal son plateau saturé d’aliments en tout genre, s’installant après un instant de réflexion… aux côtés de son « supérieur hiérarchique », ayant encore de nombreuses questions à poser. Il engloutit l’un des assortiments présentés en entrée aussi facilement que s’il s’était agit d’un vulgaire morceau de pain, enchaîna avec un dessert, recommença avec une entrée puis termina avec un plat résistance…pour l’instant.

« Pourquoi un bal a-t-il été organisé ? Tous les élèves sont-ils obligés d’y aller ? Y aura-t-il des personnalités importantes ? Et des professeurs ? Si oui lesquels ? Vous êtes ici depuis longtemps ? Ca consiste en quoi votre travail ? Vous avez déjà eu à faire à des personnes comme moi ? Si oui vous leur aviez donné quoi comme punition ? Vous avez déjà rencontré le directeur ? Et Kamisama ? Et vous l’appelez comment vous, Dieu, Kamisama, ou peut-être une autre appellation ? Je vous embête avec mes questions ? »

Bien qu’ayant une forte envie de continuer, il s’arrêta un moment, non pas dans l’intention d’apaiser son interlocuteur –même s’il se doutait que celui-ci devait n’en avoir rien à faire- mais plutôt pour pouvoir écouter les éventuelles réponses et aussi se remettre à manger. Cette fois-ci, il prit tout d’abord un plat de résistance, puis une entrée, deux dessert, une entrée, et de nouveau un dessert. Mais si tout ce qu’il prenait semblait n’avoir aucun ordre établi, pour Kô il y en avait bien un. Tout simplement parce qu’il faisait confiance en son instinct et son flaire, et donc que le hasard n’avait rien avoir avec ça.

Quelques personnes lui lancèrent des regards choqués, effarés voir complètement tétanisés, surprendre un minuscule garçon engloutirent son repas plus que le manger étant des plus traumatisant, même pour les plus habitués mentalement. Gêné par tous ses regards posés sur lui, l’emplacement où ses ailes sortaient habituellement lui picota un instant, l’Akuma gigotant alors comme pour chasser cette contrariété avant de se remettre à table. Depuis son arrivée dans le campus, il n’avait pas une seule fois sorti ses ailes, les gardant précieusement cachées, à l’abri des regards indiscrets.

Toujours impassible , Vincent observait le jeune akuma devorer comme quatre , même si l'expression ne lui allait pas vraiment et qu'elle aurait du être remaniée , le jeune akuma mangeait donc comme quarantes , dans un ordre des plus douteux. Comment ne pouvait on pas vomir en mangeant autant? ca resterait un mystere que Vincent ne prefererait pas connaitre. Il ecouta toutes ses questions , les enregistrant une a une tout en mangeant la maigre ration qu'il avait lui même choisi de prendre et attendit qu'il se remette a manger pour repondre

"- Un bal.....a été organisé pour.. qui sait , peut être pour nouer des liens entre Akuma et Tenshi , pour commencer l'année tranquillement , enfin des raisons on peut en trouver facilement , il y en a un en tout cas. Je pense qu'il vaut mieux que les eleves y aillent , et en general ils iront de leur plein gré. Il y aura le directeur je pense , et des professeurs peut être , je ne les ocnnais pas. Je suis ici depuis peu. Mon travail , je n'ai aucune idée de ce que je dis faire , alors je fais tout. J'ai deja eu affaire a des personnes de ton genre avant ma mort , mais mon ancien travail ne me permettait pas de les connaitres , et leurs punitions ...enfin. Je n'ia pas rencontré le directeur , en tout cas je n'en ai pas souvenir. Kamisama , ce n'est pas mes affaires , je ne l'appelle pas. Et non , les questions ne m'embetent pas vraiment , ce ne sont que des questions."

Il finit ce qu'il etait en train de manger et jeta un oeil a sa montre. Il garda son visage impassible et regarda un instant l'Akuma devorer tout ce uqi passait

"-Il te reste cinq minutes pour manger toutes tes assiettes et te rendre en cours , bonne chance."

Tandis qu’une accumulation de nourriture pénétrait dans sa bouche pour finir dans son estomac en attente permanente d’éléments à dissoudre, Kô stockait chacune des informations aimablement données par le surveillant dans un recoin de sa tête avec une précaution quasi religieuse. Rien ne pourrait l’empêcher d’accomplir son travail, ni le vent, ni la pluie, ni même les mets les plus délicats dont il raffolait tant.
Il engloutit avec tristesse la dernière bouchée de l’un de ses desserts en songeant qu’il irait bien refaire le plein de cette petite merveille quand les dires de Vincent le titillèrent enfin.

« Cinq…minutes… ?… »

Il resta trois secondes top chrono immobile à analyser la situation sous toutes ses coutures avant de se lever d’un coup avec son plateau tout en continuant à dévorer/engloutir/annihiler/ingurgiter/pulvériser/manger avec une élégance particulière qui échapperait au commun des mortels (entourer la réponse qui vous semble la plus probable) ce qui restait dans ses assiettes, courant par la même occasion pour se débarrasser de l’encombrant plateau. Il partit alors en direction de la sortie avant de freiner d’un coup pour revenir vers la table et s’emparer de son sac avant d’enfin pouvoir s’en aller pour de bon sans pour autant oublier de lancer un puissant :

«SALUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUTTT !!!!!! »

… à l’encontre du surveillant, assourdissant par la même occasion les quelques élèves qui eurent le malheur de passer par là. Tandis qu’il courait, il sortit son éternel petit carnet pour y noter ce qui lui semblait important avant de se dire qu’il n’avait peut-être pas grand chose pour participer à un cours quelque peu normal, dirons-nous. Ce fut donc pour cette raison qu’il effectua un magnifique virage, bousculant quelques étudiants au passage qui le gratifièrent de nombreux noms d’animaux, direction sa chambre qu’il n’avait d’ailleurs pas encore eu l’occasion de visiter à cause d’une personne dont nous ne citerons pas le nom ici, non pas par peur de représailles, non mais…

[=> Chambre 19]

[Parti lui aussi quelque part mais je sais pas encore ou]

Eliane arriva tranquillement au réfectoire. Les plats lui tendaient les bras, la faisant saliver d'avance. Les allées et venues des gens l'incitèrent assez vite à avancer, repérant du regard ce qu'elle allait prendre. Finalement, elle opta pour des comcombres avec une sauce en entrée, des haricots vert et du boeuf, et enfin un yaourt à la fraise en dessert.
Après s'être servi, elle regarda autour d'elle pour choisir une table. Elle ne tenait pas à se mettre à une table déjà occupée, trop de mauvais souvenirs avec ce genre de choses. Elle choisit une table plutôt dans un coin, que personne n'avait remarqué ou n'avait voulu prendre.

Quand elle eu finit de manger, elle hésita sur l'endroit ou aller à présent. Finalement, elle opta pour la bibliothèque