Arrivée à Xiangana

Mizu se retrouva devant une grille. Quelque chose ou quelqu'un se trouvait à ces côtés. Il n'arrivait même pas à voir qui c'était. Il continua de marcher. Il voulut parler à cette "chose" mais il n'arrivait même pas à voir quoi que ce soit c'était comme si sa vue se troubler.

Le portail s'ouvrit. Mizu voulut encore lui parler mais il se sentit comme paralysé. Etre paralysé de la bouche c'était plutôt étrange ! Il ne chercha plus à comprendre et s'engouffra dans la cour après avoir passé le portail.

[La Cour]

L'élcair l'avait frappée. Et puis tout était flou. Tout était parti, loin, dans les abîmes d'une mémoire qui ne semblait plus vouloir fonctionner. La Mort, était-ce cela ? Se perdre petit à petit, et dans les combats, et dans les souvenirs ? Les regrets éternels étaient une bien étrange condamnation.

Tristana ouvrit les yeux dans un sursaut. Elle ne reconnaissait pas son environnement, il y avait comme un vide, un Néant bien rempli et pernicieux qui n'attendait d'elle qu'un signe discret pour bondir et lui arracher les précieux fragments de sa ...

*Clara !*

Elle n'était plus. Un second vide. Une congrégation de vide dont la présence semblait avoir pour unique but d'ourdir son malheur. Des larmes coulaient sur sa joue. Trouver sans chercher, perdre avant d'avoir trouvé. Elle sentait son coeur plier sous les insistantes mauvaises fortunes.

Un grincement. C'était la grille qui s'ouvrit. Elle n'avait guère le choix, il lui fallait aller de l'avant. Un avant qu'elle ne connaissait pas, un après qu'elle ignorait sans doute. Il n'y avait ici que les brumes de sa conscience et de sa mémoire. Son coeur ne réclamait plus qu'un retour en arrière.

La raison a sa raison que le coeur ne comprend guère. Aussi Tristana se mit-elle en marche pour passer la grille et pénétrer dans la cour.

[-> La Cour]

Elle savais que cette grotte serais la bonne, elle ne savais pas pourquoi, mais elle étais sure que elle trouverais de la nourriture dedans.
Devant elle se trouvais de grosses touffes de lichen rouge et noir; même si quand elle étais sur Terre, elle n'aurais jamais mange ça pour tout l'or du monde, maintenant, elle étais en Enfer et la nourriture étais loin d'être bonne.... Et puis, elle avais tellement faim.... son estomac criait famine.

Elle se léchait les doigts d'avance et avança la main vers le touffe de plantes, quand soudain, une décharge de lumière l'engloba ; lui faisant perdre connaissance une fraction de seconde
L'instant d'après, elle étais au milieu de nulle part..... Elle avais mal a la tête et mal au dos, ses ailes en ayant profite de sa brève perte de conscience pour refaire surface

*Ow... ou est ce que je suis?*

*Peut être que je suis morte... a nouveau....*

Elle trouvais ça bizarre.... comment aurais elle pu mourir, alors que elle étais déjà morte?
Elle se tata, et vis que rien n'avais change, sa fine cicatrice au bras gauche étais toujours la, elle avais toujours son corps féminin, et son "truc" étais lui aussi présent!

C'est alors que elle vis une sorte de grande grille de fer qui flottais au milieu de ce nulle part et il y avais une sorte de grande silhouette encapuchonne a cote

*Il va peut être pouvoir m'aider.....*

Zoë se rapprocha de la forme et vis que elle ne voyait rien de lui, tout son corps physique étais recouvert par des vêtements, en fait, il lui faisait penser un peu a Charon, le passeur du Styx

"Bonjour monsieur.... ou madame......"
"Est ce que vous pourriez me dire ou je suis? Est ce que je suis morte?"

L'énigmatique silhouette ne dis rien et ouvrit le portail a l'aide d'une grosse clef de fer et désigna l'espace qui se trouvais derrière d'un geste du doigt qui signifiais clairement que elle devais passer cette grille

"Euh... d’accord, pas de problèmes..." dis t'elle en passant la grille pas très sure d'elle

[Cour]

Un portail. Un portail tout ce qu'il y a de plus banal et pourtant il n'était pas totalement rassuré. Ce portail avec quelque chose de sinistre, d'effrayant. On aurait dit qu'il possèdait une âme... Un gardien, à l'aspect aussi sinistre que le portail, vint lui ouvrir, lui faisant signe de pénétrer dans l'allée. En temps normal il aurait pu se sentir quelque peu effrayé, mais après il était mort, rien ne pouvait donc plus lui arriver. Et puis, il serait capable de se défendre, si le besoin s'en faisait sentir. Il s'avança donc dans l'allée, tout en étant tout de même sur ses gardes.

[-> La cour]

Il y avait eut une grande lumière blanche, tellement éblouissante que Saya s'était demandé en l'espace d'un instant si elle n'y perdrait pas la vue, puis plus rien. Un grand silence.

.......Saya marchait d'un pas silencieux jusque dans la cuisine ou s'élevait la bonne odeur d'un repas parfaitement préparé. Sa mère était là, en train de cuisiner, et son père assis à côté, en train de lire le journal. Ici, Saya était bien en vie, était scolarisée comme tout le monde, ne passait pas ses journées à s'entrainer dans un vieux dojo sombre et inquiétant.

" Tu rentres tard de l'école, Saya !"
Lança le père, levant les yeux de son journal. Saya ouvrit la bouche et répondit d'une voix claironnante:

" Je sais, cette semaine c'était à mon tour de nettoyer la classe !"
La jeune fille se retourna vers sa mère:

" Ca sent bon! Qu'est-ce que tu prépares aujourd'hui ?"

Mais la mère, continuant sa besogne, ne répondait pas.

" Qu'est-ce qu'elle a, maman ?" Demanda Saya à son père .

Soudain, la mère se retourna, laissant apparaitre une mine défaite et dénuée d'expression, et une gorge dont le sang coulait à flot. Saya écarquilla les yeux tendis que son père se replongeait dans son journal.

" C'est rien, elle a juste les cordes vocales arrachés." Dit-il tarnquillement.

Saya se mit a hurler et à tomber dans le vide...


La jeune fille se réveilla et se releva rapidement, encore un peu secouée mais apparement en bonne santé. Elle essaya de dire quelquechose mais resta muette, évidemment ce n'était qu'un rêve...un cauchemard. Elle regarda un peu les alentours et ne reconnut ni l'endroit où elle se trouvait jusque là aprés sa mort, ni même avant. Elle s'avança prudemment vers le portail et ou une silhouette semblait lui sourire.
Saya lui jetta un oeil suspect, mais l'être n'avait pas l'air d'être un ennemi. Au contraire, à l'aide d'une clé étrange, il ouvrit le grand portail sans un mot, et Saya comprit qu'elle devait entrer.

Sans même se retourner sur cet étrange personnage, elle passa les grilles du portail qui se referma aussitôt et poursuivit son chemin.

[ la cour]

Le froid, le goût du sang dans la bouche. Le sol dur, sans matière froide. Mikhaïl ouvrit lentement les yeux. Un ciel bleu, qui lui paraissait si bleu à coté de la noirceur de celui qui se déroulait sur la terre de Russie. Et tellement paisible ..

Il était sur le dos, les bras en croix sur le coté. La respiration paisible, où était la neige, où étaient les armes, les silhouettes menaçantes et les injures en russe ? Il tourna doucement la tête sur le coté, posant le regard sur sa main. Posée au sol, les doigts tournés vers les hauts, des doigts aux ongles encrassés. Il n'avait pas donc rêvé tout ça, il était quelques part ..mais où. Toute le monde se serrait immédiatement levé dans une telle situation mais Mikhäil était de ses êtres qui on été tellement touchés qu'ils n'osent plus bouger.
Pour l'instant, le jeune russe était heureux là, face à ce ciel immense. Ne voyant que lui, il avait l'impression éternelle de voler, d'être perdu dans l'immensité bleue. Plus rien ne comptait que l'herbe qui chatouillait les bras laissés nus par sa chemise de nuit et cette éphémère beauté printanière que la Russie n'avait jamais pu lui offrir. Il expira longuement, les yeux toujours fixé sur ses doigts. Il les remua quelques instants, s'assurant inconsciemment que tous fonctionnaient bien. Puis, enfin il se décida à se relever.

Le passage de l'état horizontal à celui vertical, même assis, lui fit tourner le coeur et il posa les mains à plats derrière lui pour se maintenir.
Mouvement de sensations nouvelles, d'une beauté inaliénable, à la recherche de tout comme un enfant qui viendrait au monde. Un contact soyeux lui effleura le bras, comme les herbes tout à l'heure. Pivotant à partir des hanches, il découvrit une aile posée sur le sol, du moins le bout puisque la base se trouvait dans son dos. Déchirant sa frêle chemise de nuit, elle s'était fait une place dans le nouveau monde. L'autre coté aussi, deux ailes, il était mort ? Il était un ange ? Mais pourquoi, il ne le méritait pas. Il n'avait jamais voulu mourir, jamais et cette chance inouïe de se réveiller ici.
Il leva les yeux au ciel, adressant un merci silencieux au seigneur.

Puis doucement, encore instable, il entrepris de se relever. Contrairement à ce qu'il craignait, il n'eut aucune difficulté à le faire. À peine déséquilibré par ses nouvelles appendices, il trouva rapidement une bonne assiette sur ses deux pieds nus. Apparemment, il avait la même tenue qu'à sa mort. Il ne comprenait pas.. Vêtu d'une simple chemise blanche lui tombant jusqu'au genoux sous laquelle il ne portait même pas de pantalon, il eu la sensation de ne pas avoir sa place ici. Attrapant les coins du tissu, il le resserra en bourrelet de coton devant son torse, comme si le mince vêtements ai eu une chance de le protéger de quelque chose.

La grille en face de lui, lui arracha une question devait-il la passer ? Où était-il à la limite du Paradis et risquait-il de tomber sur Terre si il la passait. Assurément, ce n'était pas l'intention qu'il avait. L'endroit était si paisible qu'il y serait bien resté. Pourtant, il avait froid, il avait faim et il fallait qu'il en sache plus.

Il s'approcha doucement des barreaux de fer et un homme apparu. Reculant de plusieurs mètres, Mikhäil resta méfiant. Mais l'individu ne fit que faire tourner son trousseau de clef dans la serrure de la grille et l'inviter à entrer.

Après réflection, c'est ce que Mika fit et il s'engagea, en faisant attention où il marchait, sur le chemin qui s'offrait à lui .

[La cour]

Du noir. Uniquement du noir. En quelques minutes uniquement, s’étaient succédé de nombreux évènements pour le jeune Alyott Deylusos. Il se souvenait d’abord d’avoir été percuté par une voiture. Un violent choc. Des bris de verre, de la carrosserie froissée, du bruit. Il avait senti le sang chaud chatouiller ses tempes et avait vu ce liquide d’un rouge insolent couler sur ses mains tremblantes. Il avait alors compris qu’il allait quitter ce monde. Il l’avait compris parce qu’ils sentaient ses forces l’abandonner. Il avait compris qu’il pouvait encore lutter. Mais il savait qu’il n’avait plus aucun goût à la vie, et que tant qu’il n’essaierait pas de survivre, il ne survivrait pas. C’est ainsi que, partagé entre les remords de laisser Lacrysta seule au monde et le bonheur de rejoindre Iiahm, son âme s’était éteinte.

Eteinte ? Pas tout à fait… Il avait alors rouvert les yeux dans un endroit plus qu’étrange. Perdu, désorienté, il avait d’abord essayé d’observer ce qui l’entourait. Mais avant même qu’il ne puisse se relever, voilà qu’une vive lumière blanche lavait frappé. Il en avait déduit que ça n’était qu’une étape entre la vie et la mort la plus totale. Il allait enfin trouver le repos… enfin…
Et voilà que pour la seconde fois, il ouvrait les yeux. Sceptique, il resta d’abord un long moment dans la position où il se trouvait alors : soit, sur le ventre, la tête contre l’herbe tendre qui lui chatouillait malicieusement le nez. Il ne bougea pas d’un pouce, comme attendant qu’un autre éclair ou autre ne le frappe.
Ne voyant rien venir, et se lassant rapidement du paysage qui s’offrait à sa vue, il se laissa lentement rouler sur le côté, pour que le ciel bleu vienne rencontrer ses yeux encore plus bleus que la voie céleste elle-même.

L’endroit est tellement silencieux que le jeune homme n’eut pas le loisir de découvrir qu’il n’était plus sourd, ni même muet –si tenté que muet il le fut à un moment. Au fond c’était mieux ainsi, trop de chocs en même temps n’aurait pas été bon pour quelqu’un d’aussi hypersensible qu’Alyott. Il l’apprendrait déjà en temps et en heure, puisque ce nouveau monde ne pouvait pas être éternellement aussi silencieux que maintenant.
Bien décidé à comprendre où la mort l’avait conduit, il se releva doucement, vérifiant par la même s’il n’avait pas gardé de sequelle de l’accident. En tout cas, il tenait sur ses pieds, c’était déjà bon signe. S’étirant longuement comme s’il sortait tout juste d’une petite sieste, ses yeux tombèrent sur un élément capital du décor : le portail.
Et à côté de celui-ci, imposant, se trouvait plus discret un homme sombre qui ne seblait être autre que le portail. Alyott fronça vaguement les sourcils. Gardien ? Y avait-il une épreuve ou quelque chose pour entrer ici ? Il ne demanda rien. A quoi bon, il était sourd, et la lecture sur les lèvres, il ne la maitrisait que très peu… Loin de se douter que l’homme semblait lui aussi muet, il le vit s’approcher de la porte pour y inserrer ses clefs, ouvrant la voie à Alyott.
Celui-ci le remercia d’un petit signe de tête, avant de suivre le chemin indiqué d’un pas léger et enjoué.

Il s'avançe vers la porte de sa maison, bien lugubre évidement. Il lit lentement la lettre... Elle vient de Xiangara, un campus bien connu. Mais Zachary n'en n'a jamais entendu parlait. Se syeux émeraude slit attentivement et lentement chaque mot, il comprend mal, l'écriture est italique et grasse a la fois.

"Monsieur Faust,

Le personnel de Xiangara manque dans une matière que vous cannaissez bien: La philosophie... Blablabla... Nous souhaitons que vous enseignez cette matière au campus... Blablabla... Nous pensons vivement que vous accepterez cette invitation... Blablabla...

Signature"

Dès qu'il aperçut la signature et qu'il réalisa, un éclair bleu fonçé le frappa de plein fouet. Il se retrouva devant la portail ou le gardien lui souriait. Zachary souffle sur la feuille, la convocation. Il passa une main dans ses cheveux et s'approcha du gardien qui assigna aussitôt la tête. Zachary ne dit rien et le gardien ouvrit le portail dans un grinçement stridant.

Les cheveux ébourrifaient, Zachary se dirigea directement vers le bureau d'une secrétaire ou de quelque chose qui y resemblait. La feuille toujours en main, il traversa le jardin ou il s'arrêta pour remarqué l'orchidée blanche, la fleur préférée d'Ikeda. Il continua la route, le sourire moqueur aux lèvres a travers l'allée de cailloux blancs.

Je le rappelle, il y avait eu accidentellement un renversement de situation. Etre victime au lieu de sucidaire, avouez que c'est un peut choquant....ou déprimant a vous de voir si ceci vous est déjà arrivé....

Evangeline était debout maintenent aprés avoir était frappé part un drole d'éclair blanc, comme un flash d'appareil photos(elle qui n'aimait pas étre surprise.....). La jeune fille passa son bras sur ses yeux en attendant que la lumière baisse. lorsqu'elle le baissa pour voir où elle était, elle apperçus un grand portail.
La jeune ange sursauta et voulut courir pour s'échapper mais une grande étendus blanche à perte de vue s'étalait devant elle maintenent qu'elle s'était retournée.

A contre coeur, la jeune fille s'approcha de la grille et aperçus un homme , du moins c'est a peut prés l'impression que la personne donné. Instinctivement, la jeune fille fit un immense bon en arrière mais le gardien, oui sa devait étre une sorte de concierge ou peut étre le jardinier , donc cet homme ,sans sourir, ouvrit la grille et semblait fixer Evangeline comme pour l'insiter à rentrer.

*tout va bien ! il ne te veut pas de mal, tu peut lui poser la question pour voir si....si il peut te dire pourquoi tu est vivante alors que tu vient de tomber du toit du manoir......*

"Escusez moi ! Est ce que vous savez ou je suis ?"

Pas de réponse et le gardien referma le portail a peine Eva' entrée(elle avait parlé tout en avançant). En entendant la grille se refermer, Evangeline se retourna vivement et chercha à ouvrir la grille qui était bel et bien fermé.

"Ouvrez moi tout de suite ! et répondez moi ! je suis où ?"

Toujours rien alors Evangeline donna un cou de pied dans le portail.

*aïe ! sa fait mal !*

Elle jetta un regard noir au gardien,qui ne la regardait plus, et la jeune ange commença à marcher devant elle en entortillant une mèche de ses cheveux rouge autours de son index.

[Le Bureau d'accueil & de l'Administration]

[Mince, j'ai pas vu que j'étais pas encore validée!! Désolée]

La lueur déchira un instant le calme, laissant Kakeru dans la position dans laquelle il avait été frappé. Gardant les yeux encore fermés et les bras croisés dans une inutile pose de protection, il respirait par saccade, cherchant à retrouver son calme. Lorsqu'il sentit de nouveau le sol sous ses genoux, il chuta sur le côté et dut poser ses mains sur le sol pour se retenir. Il agitait doucement ses ailes nouvelles, créant un petit courant d'air qui soulevait quelques unes de ses mèches. Le petit jeune homme de 1mètre 48 prit une profonde inspiration puis leva les yeux vers un portail.

Kakeru:Je... Je ne comprend plus rien... Les Tenshis, le champ...*Je suis ailleurs, c'est sûr.*

Il se passa la main sur le visage et se rendit compte qu'il portait encore la boucle d'oreille obtenue avec son frère d'adoption. Il l'effleura puis aperçut une silhouette encapuchonnée lui faire signe. Il se leva, épousseta les vêtements qui lui avaient été octroyés et passa la grille. Il s'arrêta juste devant le gardien et le regarda pendant un moment, sans rien dire. Son complexe concernant sa taille revint au galop et il serra le poing devant le silence de la personne. Il fit un signe de tête puis baissa les yeux et avança dans la direction indiquée. Où qu'il ait atterrit, cela lui donnait envie d'apprendre davantage et d'explorer.

Ayesha se retrouva devant un bien étrange portail, juste après qu'un éclair blanc l'est soudainement frappé. Elle était allongée et se remit debout rapidement mais douleureusement. Elle remarqua alors un homme qui venait tout juste d'ouvrir le portail. Ayesha ne l'avait pas du tout vu arriver. Elle alla vers lui et il lui indica un genre de sentier à suivire. C'est ce qu'elle fit alors.

*Mais bon sang, est-ce que quelqu'un va enfin me dire ce qu'il se passe ? Ce qui m'arrive ?* pensa elle.

Elle continua de marcher, ne pouvant rebrousser chemin.

[Cour]

[Premier poste]

La salle blanche, l'éclair blanc et enfin le bruit sourd des pieds qui touchent assez violement le sol.
Haru resta debout aprés avoir amortis le choc, en attendant patiament que la lumière soit moins forte et qu'il puissent ouvrir les yeux.Puis comme la lumière ne baissé pas encore, il songea à cette chambre d'hopital. a tout les coups, ses ailes et cette assemblée était encore un rêve.La preuve il avait marcher et était retombés sur ses pieds sans problèmes. Haru songea alors à sa petite soeur. Elle devait étre sur la chaise de l'hopital, dans la sa chambre, à attendre qu'il se reveille. Elle lui aura apporté les chocolats qu'il aime tant, et elle aura était accompagné par son père et sa mère.......oui ils étaient venus le voir à l'hopital et Haru avait convincu sa mère de ne pas abondonner son travail même s'il était dans cette chambre.
Aprés le départ de sa famille, il y aurait eut Kotobu........oui il serait venus en lui disant que sa irait qu'ils se promeneraient de nouveaux ensemble.Et il y aurait les doux baisers......
Haru ouvrit alors les yeux et vit le portail devant lui. il était étonné, trés étonné.......Le garçon ouvrit et ferma ses yeux plusieurs fois. il se rappelait petit à petit......la boite de médicaments, les cinq comprimés au lieux d'un et demi. le cri de l'infermière au moment ou il les avaient avalé.......Sa petite soeur ! Il avait osé mourir......il l'avait laissé.....mais il savait que Kotobu en prendrait soins quoi qu'il arrive.....ils s'aimaient bien Shizuky et lui........
Haru avança.Un homme ouvrit le portail. en marchant, Haru sentit ses ailes.Lorsqu'il les regarda, elles étaient bel et bien noires.......Il se rappella alors les mots d'un homme......d'une voix d'homme plutot......Akuma.......démon.......voila se qu'il était à présent.....comment était ce possible ? De vivre aprés sa mort . Haru n'en savait rien mais il passa le portail sans accorder un regard au gardien.

[L'allée du Portail]

Au moment ou l'eclair, la frappa Yumi ferma les yeux instinctivement. Elle sentis son coeur sauter deux battements puis repartir avec sa regularite habituelle... rien de bien grave, ca lui arrivais toujours quand elle etais saisie!

Elle reouvrit doucement les yeux et vis que elle etais maintenant devant une immense grille metalique. Un homme encapuchonne juste a cote... Yumi lui trouva un air sinistre et espera que tout le monde n'etais pas comme ca dans cette ecole.

Elle s'avanca de deux pas et fut prise d'une violente crise de toux qui la fit se mettre a genoux. Elle toussa pendant une bonne minute et quand elle se redressa, elle remarqua que l'homme n'avais pas bouge d'un iota

*J'aurrais pu mourir devant lui, que je suis sure que il n'aurrais pas bouge!* pensa t'elle brievement avant de se remettre a avancer vers la grille que elle passa sans meme accorder un regard au gardien. En quelque sorte, elle se montra aussi indifferente que lui

[La cour]

Une lumière blanche.Un aveuglement. Changement de décors.Il était passé du village à ce portail

** encore? bien..voyons**

Il ne se demanda pas où il était arrivé, il pensait que plus rien ne l'étonnerais depuis sa venue chez les Akumas.IL regarda autours de lui, le paysage était nettement plus accueillant qu'il y a quelques secondes à peine...

** bien...on pourrait m'expliquer?...non...personne? vraiment?....**

Il s'approcha du portail, et regarda à travers les barreaux.Un campus.Il murmura

_je suis tombé où là ? je suis pourtant pas mort, j'étais vivant il y a quelques minutes, marchant dans le village...hypothèse à exclure...un éclair...super... qui viendrait de qui ...Tenshi?... mais pourquoi m'envoyer ici, lieu qui à l'air plus agréable...

Il vit un vieil homme arrivé, ne le regardant pas

** il va pouvoir m'indiquer le lieu où je suis...non regarde ses yeux...quoi ses yeux?...**

Il regarda plus attentivement le gardien, qui inséra uen clef dans la serrure du portail, et qui l'ouvit, laissant assez d'espace pour laissé Shekil passé.IL allait poser sa question, quand son regard rencontra celui de l'homme, ces mots moururent à ses lèvres.Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que le gardien n'était pas la pour mui servir d'agence de renseignement.

**je te l'avais dit! chutttt**

IL franchit l'espace qui le séparait du portail.Il regarda le gardien encore une fois, avant de mettre un pas dans cet espèce de campus.Rien ne se passa.

** Alleluia c'était pas un piège-**

IL avança lentement, regardant autours de lui, voulant des explication à ce brusque changement de décors

[>> l'entrée, le hall & les couloirs]

La voûte céleste, la nuit laissant peu à peu place au jour, le soleil étendant ses rayons protecteurs comme pour prévenir sa sœur lune qu’elle n’avait plus rien à faire, qu’elle pouvait enfin se reposer de cette nuit éprouvante… Et spectateurs de cette magnifique vision, deux rubis ensanglantés observaient avec attention la nature continuer son chemin sans plus se soucier des faibles êtres qu’elle laissait à leurs problèmes.

Le ciel était très beau ce soir, et ce n’était pas Kô qui allait dire le contraire, clignant plusieurs fois des yeux. La plupart des personnes normalement constituées se seraient sûrement mise à paniquer après avoir été frappées par un éclair sans ressentir la moindre douleur puis transportées dans un endroit totalement inconnu, mais pas lui. La raison était cependant simple à deviner, le démon étant tout sauf quelqu’un d’ordinaire. Baissant enfin le visage de l’image idyllique qui avait occupé toute son attention jusque là, il scruta calmement les environs avant de tomber sur un immense portail à l’allure lugubre, ce qui allait parfaitement avec sa propre personne, tout du moins c’était son avis. De toute façon, pour lui, tout ce qui paraissait imposant et solennel ne pouvait que dégager une impression morbide et inquiétante, et cela collait trait pour trait avec les pauvres grilles si injustement jugées.

Il épousseta machinalement ses vêtements d’une saleté imaginaire, s’avançant ensuite vers ce qui semblait être la seule entrée de l’endroit. Là, ce qui n’avait semblé au départ n’être qu’une simple ombre apparut comme étant un homme enveloppé dans une cape imposante, ne laissant deviner aucune des lignes de son visage. Celui-ci sortit alors une clé dorée d’on ne sait où, puis, l’ayant fait tourner dans la serrure, ouvrit le majestueux portail dans un grincement sinistre comme s’il ne s’était agit que d’une simple porte. Il tendit ensuite le bras vers un magnifique chemin de marbre, ne bougeant plus d’un pouce en attendant que le visiteur daigne enfin entrer. Ce que celui-ci ne fit pas de suite, se contentant de dévisager le singulier personnage, semblant essayer de voir qui se cachait sous cette capuche.

« Bonjour… »

Aucune réponse…

« Je dois entrer, c’est ça ?… »

Idem. Loin de l’ennuyer, ce manque de répartie l’amusait plutôt, au contraire. Un sourire moqueur apparut alors sur son visage, signe de grand malheur pour l’inconnu qui n’avait sûrement jamais souhaité être un jour la pauvre victime d’un Japonais plutôt teigneux. Ne se préoccupant pas de ce que pouvait bien ressentir sa cible, Kô avança malicieusement vers lui puis, s’arrêtant à quelques pas seulement, il sortit…un gros marqueur d’une de ses poches. Le pointant fièrement vers son interlocuteur, il le fit tourner quelques instants en ronds comme en une menace des plus insolites. Il resta un moment immobile, mais semblant se raviser, rangea sa curieuse arme là où il l’avait prise.

« Dessiner sans voir les visages, c’est pas ma tasse de thé… »

Il pouffa ironiquement, sachant bien que même s’il ne le montrait pas, son vis à vis n’avait sûrement pas tout suivi de ce qui venait de se passer, ce qui était de toute façon le but recherché. Il passa alors devant lui sans plus se retourner, lui adressant une dernière réplique cependant.

« A charge de revanche… »

A comprendre, si tu as le malheur de tomber de nouveau sur moi, ne t’étonne pas si ensuite tu te retrouve avec des petits dessins partout sur la figure. Esquissant un signe de main comme au revoir, il s’éloigna dans l’allée marbrée.

[La cour]

Elle se souvenait , elle était étendue la , parterre dans cette sombre ruelle son sang se répendait doucement sur le sol , il n’y avait que pour seul bruit celui de quelque voitures qui rentraient surement chez eux. Chez elle…elle n’avait plus de chez elle depuis bien longtemps , dans cette ruelle elle se revoyait , souiller , en pleurs des bouts de vetements parsemant le sol.Les policiers classerait surement vite son cas , une vagabonde morte , sa ne ferait pas grand échos.

Elle était passée dans l’autre monde.Cette voix , ses yeux étaient ouvert mais ne voyaient rien, c’était trop flou.Cette voix , elle lui parlait enfin elle semblait s’adresser à elle. « Akuma…Démon … Suicide… » pourquoi cette voix lui disait-elle cela ?Après cette voix elle sentit une chaleur l’envahir , cette lumière intense la forcant à fermer les yeux.Qu’est ce qui se passait encore ?

Puis quand la lumière s’estompa elle pu de nouveau ouvrir les yeux .Le chant des oiseaux , l’herbe fraiche sous elle alors qu’elle était encore dans cette position douloureuse.Elle regarda autour d’elle. Mais ou était-elle ? Elle se leva doucement , elle était vêtue comme elle était avant de mourire , une jupe arrivant audessus des genous noirs , des botte ¾ et une veste noir pour la garder aux chaud , pourtant quelque chose de lourd était dans son dos.Elle regarda alors , des ailes…des ailes noirs…Voilà ce que voulait dire cette voix « Démon ». Une punition ? parce qu’elle s’était suicidé ?.. Elle releva le regard et vu d’énorme grille et derrière celle-ci un homme , plutot une sorte d’ombre qui ouvrait doucement ses énormes grille et lui faisait signe d’approcher. Elle approcha alors doucement puis pénétra dans l’enceinte. Mais qu’était donc cet endroit bizarre ?

[La Cour]

Lucas marchait dans la rue lorsqu'il sentit une chose bizarre au creux de son ventre.Une lumiere blanche, aveuglante jaillit. Il ferma les yeux, ne pouvant les maintenir ouvert plus longtemps. Il n'avait pas mal mais ressentait une sorte de fraicheur qui émanait de son ventre, puis, plus rien. Juste la sensation d'etre allongé par terre.Il sentait l'herbe fraiche sous son corps et l'odeur de la terre qui en sortait.Il ouvrit les yeux...

En effet, il était bel et bien allongé sur le ventre, au sol. Il se releva, anxieux. Que s'etait-il passé ? Etait-il mort (encore une fois..) il essaya de se rappeler du plus proche souvenir. Il marchait dans la rue...ha oui, la lumiere ! Une lumiere aveuglante, et la fraicheur qui émanait de son corps...puis plus rien. C'est la qu'il se rendit compte qu'il ne connaissais pas l'endroit ou il se trouvait. Il examina les lieux : de l'herbe, fraichement coupée comme il le faut, et un grand portail, ornée de feuillages qui s'entremelaient entre les barreaux. De l'autre coté du portail, une grande cour. Fleurie et tres...accueillante. Puis, plus loin encore, un campus.
Il le regarda un moment avant de s'exclamer, de mauvaise humeur :

"Hé m***e ! Qu'est-ce que je fous la ??"

Le portail s'ouvrit seul. Anxieux et ne sachant quoi faire d'autre, il entra...

[la cour]

C'est dans un fou rire monstrueux qu'apparut K.Pendant un long moment il rit,seul,mais ne semblait pas s'en rendre compte.Il riait tant qu'il en était à se tenir les côtes et à chercher sa respiration.Mais lorsqu'il leva la tête pour chercher du regard quelqu'un,certainement la personne avec qui il riait,qu'il s'arréta net.Il se redressa et scrutta attentivement le nouvel environnement qui s'offrait à lui.Lorsqu'il porta sa main gauche à sa taille,il resta un instant à essayer d'attraper quelquechose,mais il ne réussit qu'à prendre le vide.Le remarquant il baissa la tête,semblant surpris de ne pas trouver ce qu'il voulait.Son regard s'assombrit,il secoua la tête et observa de nouveau les alentours.Il s'arréta sur ce qui semblait ètre le seul élément dans cet étrange endroit:un grand portaille face à lui.Il fit une grimace plus que bizarre,qui consistait à arquer le sourcil gauche,tout en fesant la moue...C'était sa façon à lui de rester dubitatif.Il resta ainsi longuement,puis regarda de nouveau autour de lui.Il semblait chercher encore quelqu'un,mais il comprit qu'il n'y avait rien ni personne,en dehors de lui et de ce grand portail.Lorsqu'il voulut s'avancer pour l'ouvrir,celle ci s'ouvrit toute seule,à la plus grande surprise du jeune K.,qui eut un mouvement de recule.Il resta immobile un long moment,de plus en plus méfiant,puis finalement il se décida à prendre son courage à deux mains,et c'est les poings serrés qu'il franchit cette grille.

[La cour]

Yuki se retrouva soudain devant un grand portail. Il se tourna dans tout les sens, cherchant à savoir comment il s'était retrouvé ici. Il devait rêver ! et il allait bientôt se réveiller !!

Il repensa à tout ce qui lui était arrivé. Ce éclair blanc... Non... ça ne pouvait être qu'un rêve !! jamais sa soeur... sa propre soeur avec qui il avait partager tant de chose.... Tôru n'avait pas pu le tuer...

Finalement, il s'était rendu triste ! mais il n'arrivait pas encore à se faire à l'idée qu'il n'avait pas pu dire en revoir à ses parents et à Tôma avant de mourire... qu'il ne les reverrait plus jamais...

Puis, il se rendit compte d'un poit dans son dos et regarda. Ses yeux s'agrandirent. Des ailes s'y trouvait !! des ailes d'un blanc sans tâche !! était il devenu un ange ? il avait du mal à y croire !

Sortant de ses pensées, il vit une personne encapuchonné. Yuki s'approcha de lui.

"Excusez moi, mais savez vous ou nous sommes ?"

Pas de réponse. Cette personne était elle sourde pour l'ignorer ainsi ? mais elle avait bien put le voir ! à part si cet homme était sourd et aveugle...

L'encapuchonné sortit une clef et ouvrit le portail qui s'elevait devant lui. Il y entra, jetant un dernier regard en arrière.

(==> quelque part ^^)

Makkie retomba violement sur le sol. Le démon avait disparut et elle avait une affreuse douleur dans le genou droit. Elle ouvrit les yeux et une lumière aveuglante la frappa de plein foué. il faisait soleil et le sol blanc qui le reflétait aveuglé la jeune fille encore plus.

Elle se releva et épousseta négligeament ses vêtements qui à sa grande stupeur, n'avait ni trace de couteau, ni même de sang ou encore de terre du parc. Elle leva la tête lentement(style dans le film, vision du perso au ralentit ^^).

Un immense portail se dréssait devant elle et un homme devant elle, la fixait paisiblement mais pas très amicalement.
Elle s'approcha, méfiante.

"Euh......Je suis où ? Eh ! je suis là, non, je rentrerait pas ! mais non mais !"

Et par une curiosité qui la poussait, elle entra sous les yeux sombres du concierge.

[le bureau]

Tsuku tout feu tout flamme arriva devant le grand portail...
Il savait pourquoi il était là, à l'inverse d'un grand nombre, mais il ignorit une chose des plus imporatnte!

Qu'y avait-il de l'autre coté!!??

Là était tout le mystère, et bien que courageux et téméraire, il s'intérrogea tout de même sur le bien fondé de son choix...

Il hésita un long moment, et finit pr passer le portail...

"advien que poura"

- Ach! On peut même plus manger tranquille ici ><"

Ou le cri couroucé d'une jeune fille à qui on avait enlevé le pain de la bouche. Elle était installé devant sa table et allait manger ce qu'elle avait mit la matinée à cuisiner. Et voila qu'un éclair blanc l'avait téléporté ailleur SANS son casse dalle. Elle se calma vite pour regarder les yeux tout ronds le portail.

- OoO ...


Elle s'approcha, le toucha timidement puis empoigna un barreau. Elle allait passer sa tête entre deux berres quand quelqu'un arriva, sans un mot, et ouvrit le portail à l'aide d'une clef blanche. Elle regarda le portail s'ouvrir, hésita quelques instants puis, comme le gardien s'éloignait, elle sautilla à l'interieur et le ratrappa.

- Ach X3 merci d'avoir ouvert. Dis on est où ? ôO

Pas de réponse. Il marchait sans même la regarder. Elle ne se découragea pas pour longtemps et finit par parler toute seule.

- Ja! Vous ne voulez pas répondre ? oÔ vous êtes timides dans votre genre ? Vous avez eu une enfance difficile ? OoO

Elle arrêta (momentanément) de parler lorsqu'il arrivère devant la porte d'un batiment.

- OoO .... (again)

Elle point du doigt la porte.

- Je dois...

Elle se tourna vers le gardien pour voir qu'il avait disparu.

- .... .... Ach X3 toujours autant de chance avec les hommes....

Elle ouvrit la porte et pénétra dans le bâtiment.

[bureau]

C'était fini... Tout était calme maintenant.
La jeune fille effarouchée ouvrit lentement les doigts de sa main pour voir entre eux. Il faisait beau autour, et c'était très différent de là où elle était avant. La seule chose qu'elle vit, ce fut un portail gris en ferraille devant elle. Elle songea un instant à le briser dans toute sa rage de ne pas avoir pu contrôler sa vie comme elle l'entendait, mais n'en fit rien, se relevant péniblement du sol dur où elle était allongée. Le regard vif de la Ooda parcourut rapidement les alentours. Autant entrer. Peut-être que là-bas elle pourrait réclamer des réponses aux multiples questions qui commençaient à se poser dans sa tête.
Qu'est-ce que je fais là, pourquoi, quand est-ce que je repars ? Ses longs doigts fins se crispèrent, et elle serra les dents. Ne pas s'énerver. Il y avait sans doute une solution. Comme passer cette porte qui la narguait, au fur et à mesure qu'elle avançait, faisant claquer ses talons sur les dalles.
Enfin, elle entra.

[Le bureau]