Salle de musique

[ Nada ! Veux pas ! Dehord erwan T_T ! mdr ! … (<- Muriel est jaloux ! ) comment vas t’on faire now ? Bon en tout cas si tu reste erwan(ounet ^^), je vais attendre que Auralyan édite son message ! ( en même temps sa m’arrange un peu car je ne pense pas avoir le temps se soir, je suis beaucoup occupée avec un dessin pour mes études [ si si ] )]

[Valà j'ai édité Encore désolée Erwan]

Muriel avait suivit Auralyan, enfin, si on puis dire puisque le jeune homme était beaucoup plus lent que lui, il c’était arrêté en cour de route plusieurs fois, mais le démon, de nature très calme et patiente ne c’était pas agacé de cette situation. Mais heureusement, d’un côté, la salle n’était pas très loin. Une fois la forêt passée, il faisait beaucoup plus chaud et don le démon était d’humeur moins exécrable, même si en présence du Norvégien, il n’en avait pas montré trace.

Il finit par arriver avec son compagnon à l’endroit prévu, cette fois ci, le jeune homme le dépassa, comme s’il était un peu anxieux d’ouvrir cette fameuse porte. Il entra rapidement et Muriel ne tarda pas à le rejoindre. Mais son regard se posa directement sur le démon déjà présent, la première chose qu’il avait vue. Muriel n’appréciait pas tellement sa présence. Pourquoi ? Muriel avait voulut lui aussi un peu de solitude et de calme. Auralayan lui semblait à première vue, content, il avait bien sûr eu le temps de découvrir la salle des yeux. D’ailleurs, quand le jeune homme retourna son regard complice vers lui, pour tout simplement voir sa réaction, Muriel avait encore ses prunelles fixées sur l’ange endormit… mais rapidement, la voix du Norvégien le sortit de sa préoccupation première.

" Muriel … est-ce que vous jouez aussi d’un instrument ?" Muriel ne savait que répondre. S’il disait non… cette gaîté qu’il avait montré un instant allait-elle totalement se volatilisée ? Et s’il répondait que oui, allait-il lui demander de jouer ? D’une façon, il aurait bien aimé… ça faisait si longtemps qu’il n’avait pas touché à un piano, mais il entendait encore la mélodie dans sa tête. Il regarda le jeune homme d’une avec une attention et douceur pareil que celle qu’il avait montré en le rencontrant.

~ Et bien, je ne mentirais pas… oui, je joue d’un instrument également. Je suis vraiment "amoureux" de celui-ci, je crois.

Ses mots étaient choisit avec attention, comme d’habitude d’ailleurs.
Il fixa Auralyan qui, on avait l’impression, c’était perdu dans ses pensées. Muriel regarda alors un instant à nouveau le gêneur qui c’était réveillé et chantait maintenant. Comme si ce n’était déjà pas un supplice de l’avoir dans la même pièce. C’est alors qu’il entendit, camouflée par le bruit du piano et le son de la voix du démon... un minuscule "Non", une voix qu’il reconnaissait bien, même s’il ne l’avait entendu que très peu.
Il retourna brusquement son visage vers Auralyan, entraînant ses cheveux qui ondulèrent sur le coup.
Muriel vit alors le jeune homme retourné qui tenait son visage entre ses mains. Muriel sentit une pointe de peur le traverser, il ne voulait pas que Auralyan est une même crise que dans la forêt.

~ Auralyan ! Tu n’as rien ? Dis moi ! L’inquiétude que ressentait Muriel était, bien qu’il ne le veuille pas, retransmit dans sa voix. Sa main se posa sur son épaule, une nouvelle fois. Muriel portait une telle attention sur son compagnon qu’il avait finit par en oublier la présence de l'autre personne, n’entendant même plus sa musique et sa voix qui résonnait.

(voila ! un peu étrange après modif mais bon ! >.<)
[Mince alors ! je me suis laissé avoir par sa signature, j’ai pas fait attention ! T_T ! J’édite certains trucs rapidement ! ]

Auralyan eut nouveau sourire, certes très maigre et maladroite –car il n’était plus habitué à sourire- mais il était bien là. Cela faisait chaud au cœur d’entendre quelqu’un songer comme lui. Pour lui aussi, la musique était une sorte d’amour… Et même s’il s’averrait incapable de jouer à nouveau du piano ou du violoncelle, il savait qu’il aimerait tout autant, voir plus, en écouter.

« Moi aussi… »

répondit-il simplement à demie-voix, et l’instant d’après il semblait avoir quitté ce monde, l’esprit voyageant à nouveau dans ses doux songes d’enfant. Le cyan de ses yeux se troubla, indiquant qu’il était à cet instant déconnecté de la réalité. Un semblant d’apaisement s’installa même sur son visage, choque qui se faisait plutôt rare ces temps-ci. Le simple fait de songer à la musique bercer son âme tourmentée.

Mais comme sa curiosité s’était trouvée piquée, il sortit bien vite de ses rêveries, se rappelant que Muriel n’avait pas précisé quel était son instrument de prédilection, ce fameux instrument qui avait volé son cœur, qui se trouvait être d’ailleurs le même que celui que le Norvégien aimait tant….
Oh bien sur, Auralyan n’irait jamais lui demander d’en jouer. Il n’était pas du genre à demander quelque chose qu’il ne ferait pas lui-même à quelqu’un. De toute façon, s’il voulait vraiment en jouer, il irait déjà de lui-même..

« Et quel est l’instrument qui a su prendre votre cœur ? »

chuchota-t-il doucement en laissant ses yeux se promener d’un instrument à l’autre.
Lui qui semblait de si bonne humeur maintenant, pourquoi avait-il fallut que Cyric ne se manifeste à nouveau ? Pourquoi celui-ci ne le laissait-il pas profiter de ces moments doux et calmes où il découvrait un échantillon de ce que pouvait être le bonheur. Par pur sadisme ? Sans doute, oui… Il devait prendre un malin plaisir à torturer Auralyan, et celui-ci malgré sa volonté finissait toujours par céder aux provocation de « l’autre ». Il continua donc à bafouiller de brefs petits « non » entrecoupés de hoquets, ces petits mots se rapprochant bientôt plus du gémissement qu’autre chose…

Lorsque Muriel lui demanda s’il n’avait rien, il se contenta de secouer la tête de gauche à droite, ses cheveux blancs désordonnés venant balayer son visage tout aussi pâle. Il avait senti un peu d’anxiété dans la voix de son compagnon, mais il ne voulait en aucun cas l’inquiéter… De toute façon, il ne pouvait pas lui expliquer la situation, alors autant prétendre que tout allait bien. De plus, il ne voulait pas le mêler à cette histoire, de peur que Cyric s’en prenne ensuite à lui.

A nouveau des larmes menacèrent de jaillir de ses yeux clos. Comme toujours, Cyric arrivait à la pousser à bout de quelque façon que ça soit. Et Auralyan n’était pas un garçon aux nerfs solides, alors forcément, il craquait… Ca lui faisait mal de se dire que peut être il n’arriverait plus jamais à jouer. Que sa seule échappatoire allait finalement l’abandonnait elle aussi. Ca lui faisait mal de se dire qu’en s’occupant ainsi de lui, Muriel se désignait tout particulièrement comme future victime de la furie Cyricienne. Il en avait assez de voir tous les gens qui lui étaient chers disparaître un à un par sa faute.
Finalement, il ne parvint pas à retenir ses larmes qui vinrent une fois de plus tracer de longs sillons sur ses joues, son cou, pour mourir au col de sa chemise.

Et dire qu’il était en train de se donner en spectacle devant un inconnu et Muriel. Dire qu’il laissait ses faiblesse s’exposer, avec l’énorme risque que Cyric ne réintervienne.
Cette perspective le glaça de l’intérieur, et il réalisa qu’il ne pouvait délibérément pas rester ici tant qu’il était dans cet etat.
Il sentit alors la main réconfortante de Muriel se poser sur son épaule tremblante. Très doucement, il prit la main de l’Anglais entre ses doigts, la serra un instant entre ses fines mains, avant de l’éloigner de son épaule toujours avec autant de délicatesse.

« Ca va… »

murmura-t-il d’un ton très peu convaincu et convaincant, fuyant vaguement son regard pour qu’on ne voit pas son visage souillé de larmes.
Il chercha un endroit où s’accrocha pour se relever et sortir de la salle de musique avant que son autre n’ait le temps de se manifester, mais il ne trouva rien, ne reussissant qu’à chanceler durant sa tentative vaine de redressement. Ce qu’il pouvait haïr ses jambes de l’abandonner dans un pareil moment…
Et pour couronner le tout, il entendit un rire cinglant résonner dans sa tête, n’ayant aucune doute sur le propriétaire de ce rire….

« Non, non, non, non… »

Et une succession de petits « non » tantôt murmurés, tantôt gémis, tantôt un peu plus forts se succédèrent ainsi. On ne savait plus réellement à qui le jeune homme s’opposait tant. Etait-ce à Muriel, à Cyric, ou se parlait-il à lui-même ? Auralyan lui-même aurait été bien incapable de répondre, il ne savait plus, il sombrait tout simplement dans la folie. Il disait non à tout et à rien en même temps. A tout, parce qu’il en avait simplement assez de cette situation. Et chaque jour, il sentait qu’il se rapprochait du gouffre qui finirait bien un jour par l’engloutir. Chaque jour la folie gagnait un peu plus de terrain…

Il était tellement dans son délire qu’il ne perçut pas la nuance dans la phrase de Muriel. Il le vouvoyait à nouveau. Mais c’était là le dernier de ses soucis…
A ces mots, il extirpa son visage de ses mains, laissant voir les ravages causés par les larmes qui ne semblaient d’ailleurs plus vouloir s’arrêter.
Il leva ses yeux embués où perlait une pointe de démence vers Muriel, et son visage se tordit d’horreur.
D’horreur parce qu’il lui faisait du chantage ? Non… bien qu’honnêtement, le moment était véritablement mal choisi pour le faire chanter, il était bien incapable de raisonner correctement.
Non, c’était plutôt l’horreur de quelqu’un à qui l’on vient de demander l’impensable.
L’horreur de réaliser qu’on voulait à nouveau le trainner dans un asile, l’horreur de voir que Muriel était surement semblable à tous ces docteurs, ces « prétendus amis » qui voulaient l’enfermer.
Oh, bine sur qu’il l’emmènerait loin s’il lui avouait veritablement ce qui le tracassait. Il l’emmènerait à l’hôpital, sans aucun doute.
Et ça, bien sur, il ne pouvait s’y résoudre. Il préférait encore rester lamentablement affalé ici, pleurant, criant, gémissant, se cognant la tête aux murs ou au sol, se griffant les bras et le visage s’il le fallait, plutôt que de retourner là-bas.

Il finit par à nouveau enfoncer son visage entre ses mains tremblantes, comme si cette cachette pouvait l’apaiser et l’éloigner de cette terreur qui l’engloutissait.
Pourquoi lui demandait-il une telle chose ? Pourquoi voulait-il qu’il avoue l’inavouable ?
Il se laissa lentement rouler sur le côté, se cognant la tête au mur, laissant son corps reposer lourdement contre la façade, haletant, sa poitrine se soulevant en de grands mouvements comme pour happer toujours plus d’air.

« Je ne… »

Mais sa phrase s’acheva là, sa voix se brisant à nouveaux en un millier de petits sanglots silencieux. Il ne savait même pas pourquoi il pleurait. Peut être pour évacuer tout ce qu’il stockait en lui sans jamais s’en débarrasser. Peut être tout simplement parce qu’il était à bout de nerf… Cette sensation était affreusement désagréable. D’ordinnaire, lorsqu’il faisait ses crises, il n’était plus qu’à moitié conscient. Mais là, il était beaucoup trop conscient. Pour une fois qu’il aurait presque voulut que Cyric soit là, ce dernier l’avait laissé tomber. Alors il se retrouvait tout seul, écroulé, nageant dans son desespoir, sa folie, autant que dans ses larmes.
Il voulut crier, mais sa voix s’étouffa dans sa gorge avant de se faire entendre, ne laissant entendre qu’un bruit à mi-chemin entre le couinement et le gémissement.
Il était véritablement pittoyable, à s’agiter en tous sens, geignant, sanglottant, sans que personne excepté lui ne comprenne ce qui lui arrivait. Il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même…qui est-ce qui refusait d’expliquer sa situation aux autres au fond ?

« Je ne ….peux pas...faire ça »

Il trouva enfin la force d’achever sa phrase, murmurant ses mots en secouant frénétiquement la tête de gauche à droite, faisant virevolter en tous sens ses mèches enneigées qui venaient fouetter son visage puis son cou sans qu’il ne s’en soucie.
Et à en juger le comportement d’Auralyan, on pouvait en effet parler d’incapacité, il semblait tellement noyé dans son délire qu’on doutait qu’il ne reste encore une trace de raison dans son esprit…
Pourtant, il aurait était capable de raconter ce qui le tracassait à Muriel. Il avait simplement peur et mal.

« Je….je …ne veux pas…y retourner »

ajouta-t-il d’une voix beaucoup plus calme et douce, mais toujours aussi douloureuse.
Il avait dit ceci dans le but louable d’essayer d’éclairer un peu Muriel sur son refus, mais comme toujours avec le Norvégien, ses explications n’avaient rien de clair, et n’aidaient en rien le jeune Anglais si ce n’est à lui prouver la folie d’Auralyan…

Muriel semblait enfin remarquer que..quelque chose clochait chez le jeune Norvégien. Et c’était vraiment peu dire. Il semblait réaliser la folie d’Auralyan, comprendre que quelque chose n’allait pas dans son comportement, ou plutôt dans sa tête. Et pour cause, ça n’était pas rien, puisqu’il était persuadé qu’un esprit l’habitait… Peut être allait-il enfin comprendre pourquoi le jeune homme apeuré avait vainement essayé de l’éloigner de lui. Peut être regrettait-il de ne pas l’avoir de suite écouté… Pourquoi fallait-il toujours en venir aux grands moyens, à une crise de démence, pour que les gens comprennent qu’Auralyan n’était pas quelqu’un à fréquenter. Pour qu’ils détournent enfin leur chemin de « ce cinglé » comme on le surnommait affectueusement… C’aurait été tellement plus simple pour tout le monde si les gens l’évitaient dés le début. Comme ça, il ne s’attachait à personne, il ne créait d’ennuis à personne.

En entendant le petit chuchotement discret de Muriel, le jeune homme, étrangement, sembla se calmer…partiellement. Les larmes inondaient toujours son visage, et sa respiration était toujours aussi saccadée. Mais il avait cessait de gesticuler, se contentant de rester immobile, aussi mou qu’un chiffon, adossé contre son seul soutient : le mur. Il semblait apathique, vide, comme si la vie l’avait déserté à cet instant. Il ferma un court instant les yeux, tentant de faire le vide dans son esprit, ce qui n’était assurément pas chose aisée, tant les derniers évènements se bousculaient dans sa tête. Pas étonnant qu’il ait une migraine…

C’est dans un monde parallèle, qu’il entendit lointainement les paroles de Muriel, disant qu’il pouvait oublier… Oh combien il voudrait pouvoir tout oublier, tout effacer de sa mémoire, retourner des années auparavant…
La phrase de l’Anglais eut au moins pour effet de l’apaiser quelque peu. Peut être qu’il ne voulait pas qu’on l’enferme, finalement, puisqu’il renonçait à lui faire avouer son lourd fardeau. Peut être qu’il ne lui voulait pas de mal ? Peut être restait-il des gens qui ne lui voulaient aucun mal dans ce monde… Cette simple perspective ramena un peu de paix intérieure au jeune homme.

Ainsi lorsque Muriel se pencha pour prendre le Norvégien dans ses bras, c’est une poupée de chiffon qu’il recueillit. Il n’émettait plus aucune résistance, plus aucun geste, comme s’il avait usé toutes ses forces et qu’il était maintenant incapable de bouger. Son cœur avait reprit un rythme normal, ses yeux avaient cessé de disperser leur liquide salé qui recouvrait maintenant les joues pâles du jeune homme, seule sa respiration se faisait encore un peu trop forte.
Presque instinctivement, il laissa sa tête retomber sur l’épaule solide de Muriel, et il ferma doucement les yeux. Pour la première depuis sa crise, on revit un semblant de calme s’installer sur le visage auparavant tourmenté du jeune homme. Si bien que lorsque les yeux céruléens de son compagnon se posèrent sur lui, c’est un visage d’enfant qu’il put observer. Rien à voir avec l’espece de furie que l’on avait put voir à peine quelques instants plus tôt. A croire…qu’il y avait deux Auralyan. C’était un peu le cas d’ailleurs, mais comment Muriel l’aurait-il deviné ?
Bercé ainsi, pour un peu, il se serait endormi. Du moins, c’est ce qu’on pourrait croire si on ne connaissait pas Auralyan, car voilà bien longtemps déjà que le Norvégien ne trouvait plus le sommeil si aisément.

« Je ne sais pas… »

chuchota-t-il pour toute réponse, laissant à Muriel le choix de l’emmener où bon lui semblait. Comment ne peut on pas savoir si l’on est d’accord, telle serait alors la question à se poser… Seulement voilà, lorsqu’on à faire à une personne psychologiquement déséquilibrée, il ne faut pas chercher le pourquoi du comment, il y en a rarement. La vérité, c’est qu’il ne savait pas où il voulait aller. Sa chambre ? Dehors ? Tout lui semblait mieux que cet endroit alors qu’ailleurs rien ne serait bien différent si ce n’est qu’il n’y aurait plus d’autres personnes. Il ne savait réellement pas quoi faire. Si, il voulait juste disparaître. Non. Il voulait que Cyric disparaisse à jamais. Mais pour l’instant, il n’avait pas encore trouvé la solution salvatrice de son équilibre mental.
Tiens au fait, question pertinente, quelle était sa chambre ? Quel était le numéro que lui avait donné la secrétaire ? Aucun souvenir..

Muriel ne bougea pas. Il avait interprété ce "je ne sais pas" par une autorisation. Etrangement, à chaque fois que Aurlayan allait mal, Muriel le faisait changer d’endroit, comme si c’était ce qui se trouvait autour de lui qui était un facteur de peur chez le Norvégien. Mais, et si ce n’était pas l’Anglais qui clochait autour du jeune démon ? Muriel se le demanda, un moment, mais comme avec tout, il ignorait volontairement ce qui ne lui plaisait pas.

~ Vous devez êtres fatigués.

Il posa sa main sur les cheveux d’Auralyan, le tenant doucement contre lui quand il avait vu celui-ci poser sa tête contre son épaule. Celui-ci n’avait pas dit quelle était sa chambre, comment le deviner alors ? Autant l’emmener dans la sienne, elles ne devaient pas êtres bien différents d’après lui.
Muriel, aussi, sans le remarquer, avait décidé pour le Norvégien, comme quand ils étaient dans la forêt. Il avait cru que celui-ci avait froid, et il lui avait donné son manteau alors que c’était lui qui ne supportait pas la température. Et si cette fois encore, Muriel se trompait, que Auralyan n’était pas fatigué même après ses longs pleurs et que c’était lui le plus crevé des deux ? Il n’en savait rien, il se fichait de son propre état de toute façon, pour lui, tant qu’il tenait debout, c’était bon signe.

L’anglais marcha jusqu’à la porte et l’ouvrit d’un rapide geste de la main, la reposant rapidement dans le dos d’Auralyan pour ne pas qu’il glisse. Finalement, il ne pouvait pas l’ignorer. Auralyan même si Muriel ne le voyait pas clairement, était beaucoup trop pour qu’il le laisse comme ça. D’ailleurs, depuis la forêt, il le suivait, il ne l’avait pas lâché un seul moment, comme s’il avait peur qu’il lui arrive quelque chose entre temps.

[=> Chambre de Muriel Windlost et … ]
( oOohh ! tout ptiti, rikiki .. T_T )

[=> Dortoir des garçons - chambre de Joey et Juya]

La porte s'ouvrit brusquement sur un petit démon essoufflé, tenant une guitare à la main. Ses lunettes violettes avaient un peu glissées sur son nez, mais le musicien ne paraissait pas s'en soucier. Pas plus qu'il ne se préoccupait de ses cheveux bleutés en bataille. Les lèvres entrouvertes afin de retrouver un souffle régulier, le guitariste ferma la porte derrière lui et fit quelques pas dans la pièce. Il faisait nuit, la lumière n'avait pas été allumée. Joey ne voyait strictement rien. Pourtant, il avait bien entendu la musique. Erwan devait être toujours ici... enfin, c'est vrai que depuis le temps, il s'était peut-être lassé...

- Er.... Erwan... ?

L'akuma plissa ses yeux et enleva ses lunettes de sa main libre. Il fallait un peu de temps pour qu'il s'habitue à la soudaine obscurité. Son sang battait moins fort à ses tympans, lui permettant d'entendre quelques notes de musique. Il dirigea son regard vers le piano, qu'il pouvait enfin voir grâce au clair de lune. Une silhouette était là. L'autre démon l'avait attendu... pendant tout ce temps il l'avait attendu... Joshua en était très heureux, mais il était aussi horriblement gêné. Il était fautif, il le savait. Il déposa donc doucement sa guitare contre le mur, avant de s'approcher tout aussi lentement du pianiste. Il ne s'arrêta que lorsqu'il fut éclairé lui aussi par la lueur lunaire.

- Je.... Je....

Petit regard paniqué avant de baisser son buste en avant, les bras le long du corps, le visage et son regard face au sol.

- Je n'ai pas fait attention à l'heure. Juya était là.. et... et j'étais si content de le voir... il avait disparu alors... euh..... Pardon, j'ai discuté avec lui et je n'ai pas fait attention au temps qui passait. Je suis désolé... Pardon...

Joey ne bougeait pas. Sa respiration était redevenue normale. Il paraissait calme. Même un peu trop calme pour quelqu'un qui le connaissait. A la fin de son discours, sa voix tremblait un peu...

Joey eut un léger sursaut lorsque le pianiste lui reprocha de l'avoir oublié et dit qu'il commençait à comprendre.... Comprendre quoi ? Le jeune akuma eut peur de connaître la réponse. Mais cela faisait mal, même sans savoir. Il était en tort, il en était pleinement conscient. Aussi, il n'osait pas relever son visage pour faire face à Erwan. Enfin... presque pas. Car n'oublions pas que même s'il est effrayé, Joshua reste une tête brûlée, une courageuse -ou inconsciente, au choix - petite tête brûlée. Mais ce ne fut que pour rencontrer le regard glacial, et graver l'image de cette bouche qui lui annonçait durement qu'il n'aurait pas dû l'attendre. Et le son assourdissant du clavier frappé l'effraya plus encore.

Le chanteur resta figé, son regard bleu rempli de détresse et de peur fixant le tabouret où l'autre démon était installé quelques instants plus tôt. Erwan allait partir.... Il ne reviendrait plus... Mais c'était de sa faute si les gens se détournaient de lui, non ? Il ne faisait que des bourdes et n'en tirait jamais des leçons.

Que devait-il faire ? Avec Allan, c'était simple. S'il était en colère... En fait, il n'avait jamais dû faire quoi que ce soit pour l'apaiser. Son ancien ami ne se gênait pas pour se servir lui même, en particulier de son corps - à défaut de posséder son coeur. Toujours aussi effrayé, Joey se rappela que c'était dans ses moments là où sa relation avec Allan était beaucoup plus violente et désagréable.... Mais d'un autre côté, il préférait ça plutôt que le voir se détourner de lui et de l'abandonner. Il avait si peur de le perdre....

Le perdre... Il allait perdre aussi Erwan, son nouvel ami... parce qu'il l'avait blessé, même si c'était involontaire. Cela était si douloureux....
Joey, à cette pensée, sembla réagir et prendre conscience de la situation. S'il laissait partir ainsi Erwan, il y avait peu de chance pour qu'il puisse renouer amitié avec lui. Le jeune homme s'élança alors vers lui, et se plaqua contre lui, et passa ses bras autour de sa taille. Puis, tout en levant son visage pour affronter le regard de l'autre akuma, il s'agrippa de toutes ses maigres forces à sa chemise; comme s'il c'était son unique bouée.

- Pardon.... Pardon... Je suis désolé... Je... Je ne le ferais plus ! S'il-te plais, ne pars pas Erwan... Ne pars pas... Dis-moi ce que je dois faire pour que tu me pardonnes... je ferais tout ce que tu voudras, je te le promets !

Joey ou comment tout tourner en une mauvaise tragédie.... Mais bon, Joey Cooper restera lui-même, quoi qu'il arrive

Erwan allait partir, plus que furieux contre Joey, car même s'il était souvent de mauvaise humeur ou d'humeure égale, il lui arrivait rarement d'être furieux à ce point. Il sentit tout d'un coups quelqu'un s'agripper à lui, à sa chemise blanche. Joey? ce ne pouvait qu'être lui, mais après les paroles qu'il avait dite.

Son regard descendit sur le chanteur, pour constater que c'était bel et bien lui, qui accorché à sa chemise lui demandait pardon.

Vu comment il était furax, il 'laurait surement écarté violemment, ou rejetté contr ele mur, limite à l'assommer contr ele mur. Mais il n'y arrivait pas, il n'arrivait pas à quitter son regard ce celui de pauvre chien batut et abandonné de joey.

Etrangement, il n'arrivait pas à bouger, pas même à le détacher se sa chemise qui allait céder si il tire plus fort. Il tenait donc tant que ça à Erwan, piur s'agripper comme ça, parler et dire ces mots, lui demander pardon avec une telle insistance? Qu'ils soient amis, ok, mais à ce point, alors qu'il se connaissaient que depuis même pas une journée? Pourtant i lavait l'impression que cela faisait des mois, des années.

Le regard de joey le calma, étrange d'ailleurs ^^0 mais il réussit enfin à bouger pour prendre les poignets de joey et les décoller de sa chemise mis à mal.

"Alors joue et chante, prouve moi que tu n'a au moins pas oublié comment on fait"

Il retourna à son piano, et pour la première fois depuis bien longtemps, il ofrit un petit sourire à joey. Allez savoir comment, mais il l'avait calmé, et tout ce dont il voulait c'était jouer jusqu'à la transe

Joey trouvait Erwan assez effrayant en cet instant. Mais d'un autre côté, il était prêt à tout pour ne pas perdre un nouvel ami. Le guitariste se tut après sa supplique, gardant son regard accroché à celui du pianiste. Puis le plus grand détacha ses mains de lui. Alors, il le rejetait... il ne pouvait rien faire, c'était fini. A peine trouvé un ami qu'il le perdait déjà. Vraiment, c'était.... c'était... C'était... euh...

Le petit chanteur ne s'attendait pas du tout à ce qu'Erwan lui demande de jouer et de chanter. Aussi, il lui adressa un regard de total incompréhension. Un air d'incertitude sur son visage, ses gestes, comme un petit garçon perdu. Joey fixait le pianiste qui s'installait à son piano. Une rougeur remplaça bientôt son incompréhension quand il aperçu le sourire que l'autre démon lui adressa. Il eut alors un petit sursaut, semblant se reprendre, et un grand sourire illumina son visage. Le jeune akuma fit demi tour, sautillant presque, attrapa sa guitare et alla se placer près de l'empli qui traînait près du piano (on va dire qu'il en avait déjà un là, prêt à l'emploi ), brancha son instrument dessus et se prépara à chanter.

Tout heureux, tout sourire, Joshua Cooper tourna son visage souriant gaiement vers l'autre musicien.

- Je suis prêt ! Que veux-tu jouer ?

(déso, c'est court... mais je suis maladeuuuhhhh )

Erwan regarda Joey limite s'affoler pour brancher sa guitarre sur l'ampli, et de mettre en place. Le voir sautiller ainsi, lui faisait rappeler un enfant, c'était incroyalbe. Et pourtant il déteste les gamins, mais joey il l'appréciait. Il lui lanca un rouleau de papier, ou dedans était inscrite une partition ainsi que des paroles avec les notes sur lesquels devaient être chantés les paroles.
La chanson se nommait "Le jour J" chanté par thibaut durant, une merveilleuse chanson.

"Vas y, chante ça. Elle est realtivement simple et belle comme musique"

Il commenca à joeur des notes sur son piano, le début de la chanson du moins.

(dsl très court ><)

Joey attrapa au vol le rouleau de papier de sa main libre. Il écouta ensuite attentivement les premières notes jouées par Erwan au piano. Le Guitariste acquiesça, même s'il ne connaissait pas cette chanson étrangère (rappelons qu'il est anglais^^°), et prononça un simple "okay ^o^". Le jeune démon porta ensuite toute son attention sur la partition et les paroles. Mais il voulait essayer quelques accords avant de commencer. Il alla donc rapidement chercher de quoi poser les feuille, afin de pouvoir les avoir sous les yeux et d'avoir les mains libres en même temps (désolée, je ne tombe plus sur le nom de l'objet^^°). Lorsque tout fut en place, il essayant quelques accords, tout en chantant silencieusement la chanson, essayant de trouver le bon rythme. Ses lèvres bougeaient, mais aucuns sons n'en sortaient.

Quelques instants plus tard, se fut un grand sourire satisfait qui illumina son visage. Erwan avait raison, cette chanson était simple - du moins très facile pour lui.

- Je suis prêt, Erwan.

Sur ces mots, les yeux toujours fixé sur la partition, il joua les premières notes, certains que le pianiste allait le suivre. Il continua sur sa lancée, les paroles sortant au rythme de la musique. Cela lui donnait un drôle d'accent, mais Joey se dit en cet instant que cette langue était belle...

(désolée, j'avais complètement zappé que c'était à moi de répondre ><)

Joey resta immobile quelques secondes après qu'il eût joué la dernière note. A le voir ainsi, il paraissait différent de ce qu'il était habituellement. Comme si le simple fait de jouer et de chanter le transformait en une autre personne. Peut-être était-ce parce qu'il y mettait toujours tout ce qu'il pouvait donner dans l'interprétation d'une chanson... et aussi parce que la musique était la chose la plus importante pour lui, la seule chose à laquelle il pouvait s'accrocher...

Le jeune guitariste tourna un regard un peu rêveur vers Erwan qui lui proposait - apparemment - la traduction de la chanson s'il n'avait pas appris le français. Joshua secoua la tête de droite à gauche avant de lui répondre :

- Je comprend un peu. Ça ira^^

Cela dit, l'akuma s'assit à même le sol. Le pianiste interprétait une chanson qu'il ne connaissait pas, en solo. Cependant, c'était plus au piano qu'à la voix d'Erwan que notre cher Joey prêta attention. Attention qui se mis d'ailleurs à vagabonder. Tellement, qu'à la fin de l'interprétation du musicien Joey était endormi, son dos et sa tête appuyés contre le pied du piano. Pour unique couverture, sa guitare trônait sur ses cuisses, maintenue précairement par la main droite du chanteur. Quand à son autre main, elle s'était posée sur son ventre, tenant ses lunettes violettes.

Joey était ainsi profondément endormi, inconfortablement installé.... Et sans aucune autre défense que son innocence.....

(pour mon excuse........ Joey n'est pas le seul à être fatigué XD)

Erwan joua ses notes, mais elles lui faisant à chaque fois un coups sur le coeur. Quand la musique se termina, il cherchat joey pour le voir assis contre le piano, et....endormi . C'est simpa, il est si ennuyeux que sa erwan? Ou jey est tellement fatigué que la musique douce le tue encore plus? Erwan se leva et pris la guitare du chanteur pour l'accorcher à son épaule, ainsi que les lunetes qu'il mit dans sa poche. Il n'allait pas le laisser dormir comme ça.

Erwan se baissa et posa un bras sous les genoux de l'akuma, et l'autre sous son dos, puis comme q'il tenait une pricesse (vu qu'il le porte pas en sac à patate) il souleva le guitariste doucement.

Il fallait éviter de le réveiller, et le poser dans sa chambre. Facil à dire, mais à faire...... une autre histoire. Il le serra un peu, histoire que joey ai comme appuis le torse de ce cher erwi. Il se releva et se dirigeat vers la porte, sortant.

[dortoirs]

Joey n'émit que quelques soupirs et gémissements dans son sommeil, alors qu'Erwan le déchargeait de sa guitare et de ses lunettes pour le prendre dans ses bras. Cependant un sourire apparu sur ses lèvres. Inconsciemment, il ressentait la chaleur autour de lui, il se sentait rassuré, comme si quelque chose ou quelqu'un le protégeait. Avide de savoir, le jeune chanteur essaya d'ouvrir ses paupières. Elles étaient devenues lourdes, trop lourdes. Même l'air frais qui glissa sur sa peau (lorsque Erwan sortit dehors pour rejoindre les dortoirs), ne l'aidait pas. A peine se sentit-il plus conscient. Humant l'odeur flottant autour de lui, il reconnu celle du pianiste (à force de lui sauter au cou, il connait son odeur XD). Ses lèvres articulèrent un "merci" contre le torse du démon, mais aucun son ne se fit entendre.
Et comme si cela lui avait valu un énorme effort, notre petit akuma replongea dans les bras de Morphée...

[=> dortoirs des garçons - chambre de Joey]

[=>Dortoirs des filles : chambre N°4]

Evangeline c'était laissé guidé par ses pas, sans savoir vraiment où elle allait. Aprés tout elle ne connaissait rien, elle ne pourrait pas s'ennuyer ! La jeune fille descndit des marches, en remonta, traversa de longs couloirs. En croisant deux personnes, elle accéléra comme si elle allait se faire attaquer. et pourtant, c'était elle qui attaquait d'habitude. Eva' accéléra le pas jsuq'au bout du couloir, passa une grande porte pour arriver dans.............une salle remplie d'instruments.
C'était magnifique, piano,flutes,violons...........il y avait au moins un orchestre entier !
L'ange s'approcha du piano, en fit le tour en faisant glisser ses doits sur le vernis noir puis elle effleura les touches avant de s'assoir.
Elle n'avait pas de partitions mais tempis, elle improviserait. Sa main droite se posa sur un sol dans l'aigu et commença à jouer une harmonie de plus en plus vite puis lorsqu'elle eut trouvé un bon tempo, la main gauche vint accompagner la droute mais dans le grave. La mélodie s'eleva dans la salle, dans le couloir aussi car elle n'avait pas bien fermé la porte. La lumière était assez faibles, les mains de la jeune fille courraient sur le clavier , la mélodie prenait forme au fur et à mesure.........

*sa faisait tellement longtemps que je n'avait pas touché un clavier..........je ne me souvenait plus que c'était si agréable.*

Aprés quelques minutes d'improvisassion, Evangeline enchaina sur une musique plus rapide et enfin, aprés quelques accors, la vitesse s'accéléra et la voix de la jeune fille s'eleva dans la salle.

"What a world, What a life
What a sight for sore eyes.
What a chance, What a dram come true
Will I soar, Who can say, Will i fly far away
I dream, Of a wonderful place
I dream, Though I'm wide awake
To the stars, High above
This is where I wanna be, I deam........."

[ Du Jardin --> A la salle de musique ]

( on m'a dit que t'étais toute seule! j'arrive ! ^^)

Alors qu'on l'avait mit "dehors du jardin" ou plutot forcée à rentrée elle erra donc dans les corridors et soudainement elle entendit une jolie mélodie et une belle voix qui accompagnait celle-ci. Elle sourit interrieurement avant de ce diriger vers la salle.

* Jolie voix donc jolie fille? en tout cas j'espère pas une bête comme ses pieds *

Elle sourit en coin à sa propre remarque puis dans le plus grand des silences entra dans la pièce elle ne voulait surtout pas que par gène ou peur la jeune fille s'arrête.Elle referma doucement la porte et approcha alors que celle-ci (j'invente) était dos à elle. Puis quand elle cru que la mélodie était fini elle applaudit doucement souriante.

" C'était vraiment beau , tu as du talent! " dit-elle doucement de peur d'effrayer la jeune fille qui ne l'avait surement pas entendu arriver.

[ Edit : Meheu! >< ya quelqu'un qui va me répondre , à ce que je puisse voir elle est toujours dans la salle evangeline .. ]

[désolé, désolé,désolé je t'ai expliqué part mp ]

Envangeline concentrée sur sa musique n'avait pas entendue Liliane entrée et fut tout de même un peut surprise losrque cele ci lui adresse la parole. Elle savais qu'il était tard et de plein gré, elle n'avait pas voule aller dormir. Le piano était un magnifique moyen de se détendre et de pensser à autre chose.
Eva' tourna la tête et leva les yeux vers Liliane. D'un geste de la main elle replaça ses mèches rougeoyantes derrière son oreille avant de répondre avec une certaine méfiance mais le compliment lui allait droit au coeur.

"Ah.....merci....c'est une amie qui la écrite."

Un sourire timide s'afficha sur le visage de la jeune ange.Toujours les yeux rivés sur Liliane, Evangeline caressé du bout des doits les touches du piano.

"Je m'appelle Evangeline, Evangeline Mc Dowell, et je suis morte d'ailleurs."

Elle avait une voix posée. Elle voulait savoir , si comme elle, la jeune femme qui lui parlait était morte, elle voulait connaitre.
Arréter de jouer lui avait rapellé dans quel fouillit de noeux était son cervaux.D'ailleurs, elle avait légèrement mal à la tête.Surement dû au choc qu'elle avait subit en tombant. C'est étrange qu'elle ne l'ai pas sentis tout de suite.
Elle regarda alors avec plus d'attention le visage de son interlocutrice. Elle était jolie......qui pourrait croire mourrir aussi tôt.
Enfin elle pouvait parler elle, elle avait voulut se sucider....

[ Je sais ^^ t'excuse pas]

Liliane sourit quand la jeune ange dit merci , elle semblait méfiante. Méfiante à son égard parce qu’elle était une akuma ? va savoir…Elle sourit et ne craignant pas que ses vêtement soit salle elle s’assit parterre.

"Alors ton amie est très bon , c’est vraiment beau…"

Elle ferma quelque seconde les yeux pour imprimer dans sa tête le visage d’evangeline avec le nom puis elle sourit.

"Moi c’est Liliane , Liliane Kyuu et je suis morte aussi .."

Elle sourit tristement puis regarda l’ange.

"Sauf que moi je me suis suicidé… c’est pour cela que je suis une Akuma et toi tu n’es tes pas suicidé pour être une Tenshi…"

Elle posa l’étuit de son violon sur ses genou doucement regardant parfois la main d’evangeline qui effleurait les touches du piano.

"Moi je joue du violon mais j’ai déjà essayé pleins d’autre instrument mais c’est celui-ci que j’ai préféré."

Essayant alors de trouver un sujet de conversation qui tiendrait la route elle dit doucement.

"Ca fait longtemps que tu es arrivée ?"

Evangeline ne montra pas sa surprise lorsque Liliane lui annonça qu'elle était morte aussi, mais notez bien qu'elle est surprise quand même.
Réfléchissez deux secondes ! Vous allez, vous, voir quelquu'n en lui disant : "salut ! je m'appelle Evangeline te je suis morte !" et l'autre vous répond : "Tiens ! Quel coincidence ! Je me suis sucidé moi !".
Non , quoi qu'en dise n'importe qui, cette discution n'ets pas banale du tout.

*alors comme sa......si l'autre crétin qui me servait de père ne m'avait pas poussé......je serait devenut un démon, quel renversement.....c'est assez inatendus....*

"Euh sucider.....moi c'ets se que j'étais senssé faire, mais on a voulut me rattraper mais au lieu de sa on m'a poussé.....bah en tout cas j'ai eut se que je voulais."

Evangeline sourit un peut plus, comme si sa mort avait était la chose la plus belle qui lui soit arrivée dans la vie(n'est ce pas contradictoire tout ceci ? ).
Puis les yeux de la jeune fille se posèrent sur le violon. la dernière fois qu'elle avait essayé, c'était un son affreux tel un grincement de porte qui était sortit de l'instrument. Mais elle avait vus de nombreuse personne en jouer et elle était d'accord sur un point, bien jouer, le violon est magnifique à entendre.

"La dernière fois que j'ai essayé un violon, on aurait dit que l'on égorgait un cochon...."

Un petit rire résonna dans la salle de musique.
A la question de Liliane, Evangeline réfléchis quelques instants. Depuis combien de temps était elle arrivée ? Cela devait bien faire quelques heures.......elle n'avait pas le souvenir de s'étre endormit donc....

"Sa doit faire quelques heures......sa fait encore tout drole de savoir que mon corp terrien doit giser je ne sait où........à la morgue ou peut étre déjà dans mon cerceuil....."

Elle posa ses yeux sur Liliane

"Et toi ?"